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 Il n'y a rien de pire pour une mère que de croire perdre son fils.

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Il n'y a rien de pire pour une mère que de croire perdre son fils. /
Dim 27 Fév - 15:23

Cécilia Thynne
Maggie Smith
PRÉNOM NOMCécilia Thynne
ÂGE 72 ans
ORIGINE ET LIEU DE NAISSANCEAnglaise. Elle est née quelque part dans la campagne anglaise, dans le lit conjugale lors d'une nuit sans étoile
OCCUPATION Jouer aux cartes, découvrir la vie londonienne et être la respectable mère du futur marquis de Bath (titre dont elle est fière au passage)
SITUATION FINANCIÈRE Correcte
CLASSE SOCIALEBourgeoisie
STATUT CIVILVeuve
ORIENTATION SEXUELLECela fait un moment qu'elle ne se pose plus la question mais il lui arrive parfois de contempler l'air rêveuse comme une jeune première les fesses moulés dans des bas seyants des jeunes hommes qui croisent son regard
TRAITS DE CARACTÈRE Cécilia est ce qu’on pourrait appeler une mère attentionnée et une bienfaitrice pour les enfants. Elle a eu énormément de mal à avoir Randall donc il est la prunelle de ses yeux. Elle a toujours veillée à ce qu’il soit heureux et continue à le faire même s’il est maintenant en âge de le faire seul. Mais il faut dire qu’elle a cru le perdre peu après Waterloo, en fait elle l’a même perdu. Et quand elle l’a vu revenir, muet, son cœur s’est rebrisé. Elle ne souhaite à aucune mère, même pas à sa pire ennemie de connaitre les sentiments qu’elle a ressenti. Et comme son bébé est devenu grand, quand elle vivait encore dans son cottage, elle était connue comme étant la mamie gâteuse, celle qui fabriquait toujours des gâteaux, gâtait les enfants du coin et chez qui on savait qu’il y aurait toujours du thé et de quoi se restaurer. En fait, tous les enfants des environs qu’ils soient encore jeunes ou bien devenus adulte et même parents l’appelait « grand-mère ».

Mais Cécilia n’est pas philanthrope pour le plaisir de l’être, non. En fait, son véritable plaisir ce sont les rumeurs, les ragots. Elle adore les entendre pour les répéter un peu plus tard, elle en a même fait sa spécialité. Mais attention, elle ne le fait jamais dans le but d’être méchante, et si jamais une rumeur risque de faire trop de mal à la personne concernée, elle va préférer se taire et faire celle qui n’a pas entendu. Et cela est aussi une de ses spécialités, avec celle d’être un moulin à paroles. Une fois qu’elle est lancée, la vieille femme ne s’arrête pas, pouvant meubler une conversation à elle seule avec les derniers potins. Et quand elle se tais, c’est pour mieux écouter ce qu’il se raconte, enregistrer, quitte à lâcher une petite pique le moment venu, s’amusant de ses traits d’esprit. Et si quelqu’un lui reproche, elle répondra avec tout son naturel qu’il faut lui pardonner, qu’elle se fait vieille et il n’y a plus beaucoup de distractions qui trouve grâce à ses yeux. Ajoutez à cela une part du gâteau qu’elle aura fait quelques temps avant et vous lui aurez pardonnée ce petit écart indigne d’une femme.

GROUPE Light Keepers
AVATAR Maggie Smith
CRÉDITS Moi
50%
◦ intérêt richesse ◦
95%
◦ intérêt scandale ◦
10%
◦ intérêt politique ◦
75%
◦ intérêt réputation ◦


Behind The Screen
PRÉNOM/PSEUDO Maman Ourse ÂGE 25 ans RÉGION/VILLE Bretagne FRÉQUENCE DE CONNEXION Régulière QUESTIONS/AVIS *voix de Shinning* It's Mommy



Who are you really ?
◦ your story ◦
« C’est un fils madame »

Un soupir de soulagement m’échappa en entendant cette annonce. Enfin, enfin j’avais donné naissance à un fils. Cela faisait des années que nous essayions avec mon mari, sans succès. J’avais bien eu plusieurs grossesses, mais aucune ne s’était vraiment achevé. Et la seule exception à la règle, personne ne la connaissait, du moins avant que Randall naisse. Mais à présent, j’avais mon enfant, mon fils si longtemps attendu et j’allais pouvoir profiter de lui, le voir grandir et s’épanouir. Nous étions enfin une famille au complet.

Je venais d’avoir quarante ans quand il est né, mais je connaissais son père depuis mes vingt ans. Nous nous étions rencontrés et cela avait été une évidence pour moi, je finirais ma vie à ses côtés, c’était lui que je voulais épouser. Après l’annonce des baux, on se maria en effet et bientôt le projet enfant fut mis en route. Mais on eu beau essayer, rien n’y faisait, je ne tombais pas enceinte. Et à chaque fois que cela arrivait, je finissais par perdre l’enfant avant de le mettre au monde. Dans beaucoup de couples cela aurait été un motif de rupture, cela failli être notre cas, mais on tenait bon ensemble et on réessayait encore et encore pour espérer voir cet enfant naitre. Et il finit par venir au monde, en bonne santé, hurlant de ses petits poumons sa colère d’être de notre monde. Randall, ma raison de vivre venait de naitre.

Je m’occupais de lui comme une mère le ferait avec son enfant, attentionnée, aimante, mais aussi intraitable sur certains sujets. Je me plais à me dire que j’ai fait un excellent travail avec lui, d’autant plus qu’il n’a pas hérité de mon talent à tout le temps parler pour meubler les silences, cela ne serait pas convenable pour un gentilhomme, son père n’arrêtait pas de me le dire.

Et un jour, mon époux arrêta de me le reprocher car il passa son arme à gauche, me laissant seule avec notre fils. J’enterrais mon chagrin pour rester forte pour mon fils, mais bien des nuits je pleurai l’homme qui m’avait accompagné pendant de nombreuses années. Et je le pleurai encore plus quand Randall décida de partir combattre ces français qui nous menaçait. Je tentais bien de l’en empêcher, mais il ne m’écouta pas et partit de l’autre côté de la mer, loin de moi, me laissant seule avec mes craintes pour sa vie.

Je guettais ses lettres avec inquiétude, respirant quand j’en recevais une et priant quand je n’en recevais pas. Et quand je reçu celle du marquis de Bath, je pensais que cela allait être finis, que mon fils allait revenir à mes côtés maintenant qu’il allait hériter d’un domaine. Je l’en avertis le plus tôt possible, le suppliant de revenir en lui expliquant la situation, mais ma lettre dû ne jamais le trouver car je guettais le facteur pendant plusieurs jours sans qu’il ne m’apporte de réponse, ni même ne vis mon fils rentrer. Bien au contraire, un jour, alors que la guerre venait de s’achever, on m’annonça qu’il était porté disparus, qu’il n’était pas vivant, mais que son corps n’avait pas été retrouvés parmi les nombreux cadavres de nos enfants tous partis faire la guerre.

Même si je n’avais que peu d’espoir, je priais pour qu’il revienne, qu’on m’annonce qu’il était vivant, mais rien de tout cela n’arriva pendant trois mois, trois long mois. Et un matin, alors que je n’y croyais plus, je vis mon fils sur le pas de la porte. Certes, il était aimaigri, un peu sale, et surtout muet, mais cela était mon fils, il était en vie et c’était le principal. Dans le plus grand des secrets, je m’occupais de lui, parlant pour nous d’eux et l’aidant à se remettre de ce qu’il avait vécu. J’essayais même de lui réapprendre à parler comme un enfant et fêtait chacune de ses réussites. Je voyais bien parfois qu’il ne serait plus jamais le même, mais cela m’importait peu. J’avais retrouvé mon enfant, vivant et l’avait à présent à mes côtés.

Mais je n’oubliais pas le marquis et je dû laisser Randhall partir pour Londres où tout le beau monde se réunissait. Cela n’allait pas être la guerre, il ne lui arriverait rien, j’en étais certaine. Je lui rendis parfois des visites dans son logement, croisant quelques un de ses amis avant de prendre ma décision. Je me faisait trop vieille pour rester loin de mon enfant unique, j’allais moi aussi déménager à Londres pour être présente à ses côtés. Mes bagages furent vite fait et je débarquais un matin de février à Londres pour finir ma vie dans cette ville qui fourmille et où évolue mon fils.
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The Regent
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Re: Il n'y a rien de pire pour une mère que de croire perdre son fils. /
Ven 11 Mar - 20:36


Félicitation, tu es validé !


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