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 Philip Anderson ~ L'homme aux mille vices et l'une obsession

Philip Anderson
Philip Anderson
◦ londoner ◦
Lettres envoyées : 6
Age : 29 ans, né le 25 Avril 1993. Il approche dangereusement de ses 30 ans, ce qui ne lui fait que très peu plaisir.
Nationalité : Bien que né prématurément en France, il est de nationalité anglaise comme ses deux parents résidents en Angleterre
Statut marital : Célibataire, peut-être plus pour longtemps. Il a promis à ses aînées de prendre femme pour ses 30 ans
Métier/Occupation : Propriétaire du domaine viticole Anderson près de Worcester depuis la mort de son père.
Classe sociale : Haute Bourgeoisie, cependant Philip reste intimement convaincu qu'il finira par être anobli. Peu importe à quel prix le temps qu'il y arrive.
Rêve(s) : Si son unique rêve a toujours été d'être anobli, aujourd'hui il hésite entre "être anobli" et "épouser la belle Theodora Sheffield" dont il est tombé éperdumment amoureux.
All I want is... you ? Or the power ?
Pseudo : Dobbyyy
Trigger Warning : Aucune sensibilité, aucun TW
Content Warning : Sexe, manipulation, alcool et sûrement d'autres choses
Doubles Comptes : Aucun
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Philip Anderson ~ L'homme aux mille vices et l'une obsession /
Dim 18 Sep - 8:04







Philip Anderson
◦ ft Daniel Sharman ◦


PRÉNOM NOM Philip Anderson
GE Cela fait à présent 29 printemps que ce fin pécheur a vu le jour. Il se rapproche dangereusement -et bien malgré lui- de la trentaine, âge pour lequel il devra prendre épouse, ne pouvant se refuser à cette convention plus longtemps.
ORIGINE ET LIEU DE NAISSANCE Héritier d’un couple anglais, ses yeux se sont ouverts prématurément sur le ciel nuageux de la capitale française, ces parents étant venus admirer les coutures de la grande ville durant quelques semaines.
OCCUPATION Heureux propriétaire des réputées terres viticole Anderson suite à la mort de son cher père, un domaine situé près de Worcester connaissant un succès florissant grâce à un savoir-faire transmis de génération en génération. Cette entreprise familiale propose d’excellent vins français ayant su se faire une honorable place dans le patrimoine britannique
SITUATION FINANCIÈRE Du plus loin qu’il puisse s’en souvenir, l’argent n’a jamais été source d’ennuis dans la famille Anderson. Le domaine viticole étant prospère, ce n’est pas le sous qu’il manque. Au point qu’il n’hésite pas une brève seconde à exposer la richesse qu’il possède cédant très facilement à l’opulence et la luxure qu’elle lui offre.
CLASSE SOCIALE A son grand désarroi, cet homme qui rêve de grandeur ne fait partie que de la Haute Bourgeoisie. Il ne cache cependant aucunement son intérêt à s’anoblir, il en rêve même le soir en charmante compagnie.
STATUT CIVIL Philip jouit de son célibat comme nul homme. Il se complaît dans les bras de femmes différentes, ne se refusant jamais une bonne compagnie le temps de quelques instants avant de revenir à ses affaires. Il devra cependant prendre femme pour ses trente ans, comme promis à son ainée, afin d’assurer un héritier à son tour pour le domaine qu’il entretient minutieusement.
ORIENTATION SEXUELLE Cet homme ne se voit aucunement balader ses mains sur d’autres courbes que celles féminines. Il ne se pose même pas la question sur son orientation, aimer le même sexe n’est pas envisageable. Il n’a donc aucun doute sur son hétérosexualité, il ne vit que pour la douceur d’un visage aux traits fins et l’odeur savoureuse de cheveux longs.
TRAITS DE CARACTÈRE Philip est avant tout un bon vivant. Né du bon côté de la barrière, il ne se refuse rien étant donné qu’il est capable de tout s’offrir. Quand il se dit simplement épicurien, on peut le voir comme porté sur la boisson, joueur, luxurieux ou dépensier. En effet, il aime jouer et boire avec ses pairs, comme tout homme de bonne consistance. Il ne rechigne pas non plus face à la luxure de certains lieux, il est commun pour un homme de trouver du réconfort dans les bras d’une femme. Qu’on la paye ou non, il ne faisait que profiter de ce que sa vie pouvait lui offrir et elle pouvait lui offrir de nombreuses choses.
Tout à fait capable de se divertir, Philip est avant tout un homme ambitieux avec la tête sur les épaules. A la tête d’une affaire de famille, il sait se montrer organisé et maniaque dans son travail. Il a d’ailleurs besoin d’un profond contrôle sur ses affaires afin de s’assurer de leur bon fonctionnement. Il n’a rien d’un bourreau du travail, pourtant il sait se concentrer et se focaliser sur ce qui a le mérite de lui importer. Cette affaire est avant tout un héritage de son père, et même s’il ne l’admettra jamais, il y tient bien plus qu’il ne veut le faire croire. Il protégera d’ailleurs toujours cette affaire comme il sera toujours maladroitement présent pour ses sœurs.
Philip ne niera jamais avoir un nombre de défauts considérables, on pouvait assez largement les compter sur les doigts d’une main. Narcissique, frivole et joueur, il n’était pas en reste et pour conquérir le coeur d’une femme, ces traits de caractère ne semblait pas lui apporter grande aide. Pourtant, en vivant dans une famille de quatre enfants, il avait tout de même appris à être bon envers ceux à qu’il tenait. Bien que très maladroit dans ses actes comme dans ses paroles, Philip peut se montrer attentionné, à l’écoute et même surprotecteur. C’est un côté qu’il constate de lui lorsqu’il rencontre ses sœurs ainées de temps à autre, il en est d’ailleurs assez pudique.
GROUPE Dark Souls, tout ce qui peut bénéficier à son ambition, à son rêve, est bon à être utilisé. La morale n’étant point un obstacle suffisant à de répréhensibles comportements, rien ne l’empêcherait d’avoir ce qu’il souhaite.
AVATAR Daniel Sharman qu’il me roule dessus, cet homme. BON DIEU !
CRÉDITS Moi-même, merci Totoshop




70 %
◦ intérêt richesse ◦


50 %
◦ intérêt scandale ◦


100 %
◦ intérêt politique ◦


80 %
◦ intérêt réputation ◦


Behind The Screen
PRÉNOM/PSEUDO Dobbyyy AGE La fleur de la vingtaine RÉGION/VILLE Entre la Côte d’Or et le Loiret FRÉQUENCE DE CONNEXION Au moins une fois par semaine, pour sûr QUESTIONS/AVIS Je peux avoir des cookies comme cadeau de bienvenue ?
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Philip Anderson
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Age : 29 ans, né le 25 Avril 1993. Il approche dangereusement de ses 30 ans, ce qui ne lui fait que très peu plaisir.
Nationalité : Bien que né prématurément en France, il est de nationalité anglaise comme ses deux parents résidents en Angleterre
Statut marital : Célibataire, peut-être plus pour longtemps. Il a promis à ses aînées de prendre femme pour ses 30 ans
Métier/Occupation : Propriétaire du domaine viticole Anderson près de Worcester depuis la mort de son père.
Classe sociale : Haute Bourgeoisie, cependant Philip reste intimement convaincu qu'il finira par être anobli. Peu importe à quel prix le temps qu'il y arrive.
Rêve(s) : Si son unique rêve a toujours été d'être anobli, aujourd'hui il hésite entre "être anobli" et "épouser la belle Theodora Sheffield" dont il est tombé éperdumment amoureux.
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Re: Philip Anderson ~ L'homme aux mille vices et l'une obsession /
Dim 18 Sep - 8:04




Who are you really ?
◦ L’histoire d’un, bientôt, grand homme ◦




L’innocence et l’ignorance d’un enfant. Philip Anderson est né un jour d’avril. Un jour misérablement ennuyeux, couvert de nuages exprimant leur mécontentement alors que le printemps était avancé dans la capitale française de tous les possibles. En visite, ses parents n’avaient point prévu l’arrivée de leur enfant aussi rapidement. Cette naissance écourta vivement leur séjour, rentrant de toute urgence en Angleterre afin de prendre le plus grand soin du nouveau-né, un petit garçon. De longs jours d’avance n’étaient pas coutume et la famille entière resta au chevet de l’enfant de longues nuits durant, inquiète de la santé de l’enfant ne montrant pourtant aucune faiblesse qu’elle quelles soient. Cependant, cette inquiétude n’était pas sans justification : Philip était l’enfant tant attendu, le seul petit garçon. L’héritier. Unique. Cet enfant, l'œuvre de Dieu, était fait pour accomplir de grandes choses alors en conséquence, sa famille lui offrit tout.
Devenu la préoccupation principale de ses parents, on ne peut pas dire que l’enfant manquait de quelque chose. Il avait tout ce dont il pouvait rêver. Il n’avait qu’à demander et cet affectueux manège ne s’arrêta pas avec la naissance d’une nouvelle enfant. Si sa petite sœur fut aussi choyée qu’avait pu l’être les autres enfants de la famille, le garçon restait celui qui attirait le plus l’attention de ses parents. N’était-ce pas normal ? Il était parfait. De forte consistance, il tombait rarement malade. Avisé, il ne grimpait pas aux arbres et ne s'adonnait pas à des pirouettes loufoques pour faire rire ses sœurs. Bien au contraire, doué pour s’exprimer, il s’évertuait toujours à les faire rire en jouant sur les mots. Il n’hésitait jamais à voler des sourires à ses sœurs. Bien que leurs parents leur aient porté un intérêt catégoriquement différent, Philip ne s’était jamais senti supérieur à ces dernières. Il les aimait d’un amour innocent, enfantin. C’était cette conscience de la famille et de son importance avec laquelle avait été éduqué les enfants Anderson qui les rapprochaient autant, si l’un avait plus d’importance que les autres, elles ne devaient pas être négligées pour autant. Ils n’avaient besoin de personne d'autre que des leurs.

Agé de six ans, il avait été loin d’envisager leur éloignement.
C’était sa plus grande sœur qui avait commencé à s’écarter. Occupée par ses apprentissages respectifs, elle ne possédait plus le temps de participer à de “tels amusements inutiles”. Enfantin, fut tout ce que le jeune garçon retint alors qu’il sentait son aînée s’éloigner de lui et de sa sœur cadette, les laissant seuls. Prenant parti afin d’éviter toute cassure dans la famille, sa mère tenta encore et encore de lui expliquer que sa sœur grandissait, entrant ainsi dans la vie mondaine, pourtant tout ce qu’il en retenait était le profond sentiment de rejet que cela lui laissait en travers de la gorge. Il prit donc soin lui-même de sa petite sœur, cherchant à effacer ses larmes de tristesse par des sourires innocents. Profondément investi auprès de sa jeune sœur, il se promit de ne jamais l'abandonner ainsi. Il valait mieux que son aînée, c’était un fait. Alors pendant quatres années consécutives, les plus jeunes Anderson entreprirent de s’amuser à deux et non plus à trois. Se divertir à deux était bien plus difficile qu’il n’y paraissait, pourtant rien ne faisait obstacle à l’imagination grandissante de Philip. Chaque nouvelle semaine, le jeune garçon inventait un nouveau jeu pour amuser sa tendre sœur jusqu’à ce qu’elle se lasse et qu’ils passent au suivant.
Pourtant, comme sa sœur avant lui, il ne resta pas indéfiniment auprès d’elle.
Il ne tint pas sa promesse.

Alors que Philip atteignait enfin sa première dizaine, il fut décidé qu’il était tant de commencer à l’instruire. Destiné à reprendre l’affaire familiale, il fallait que l’enfant apprenne sérieusement. Qu’il s’imprègne des échecs et s’inspire des victoires que la famille avait pu rencontrer. Qu’il comprenne chaque étape de la conception du vin familiale. On ne compta pas le nombre d’heures que l’enfant passa avec son père apprenant et ré-apprenant la finance et la comptabilité. Transformé en véritable professeur, son géniteur ne lui laissa jamais une seconde pour lui-même, il devait apprendre et être meilleur que lui pour accomplir de grandes choses. “L’entreprise doit continuer de prospérer bien après ma disparition”, répétait-il en boucle faisant de cette phrase un mantra pour son jeune fils. C’était à cette simple phrase qu’il se raccrochait pour se surpasser. Pour ne pas décevoir son père. Pendant deux longues années et sans une minute de répit, il s’attela à modeler son corps en apprenant étape par étape le processus de création de leur célèbre vin. Il aida son père des journées entières pour la récolte comme pour toutes autres étapes de la production. Si cette tâche avait tout d’abord semblé ingrate à l’enfant qui n’avait aucunement le gabarit ou la force pour ce travail, à l’âge de douze ans, le jeune adolescent avait changé d’avis sur la tâche. Elle avait été les prémices de leur vie confortable. C’était un savoir-faire à ne pas perdre.

Les rêveries et les folies d’un adolescent. Un an plus tard lorsque Philip fut enfin capable de prendre en charge par lui-même la comptabilité de l’affaire, il n’était que conforté dans ses choix d’avenirs. Il était fait pour succéder à son paternel. C’était une évidence, rien de plus simple que cela. Deux ans plus tard, le jeune homme était encore novice mais déjà en capacité de seconder son paternel. Il ne réfléchissait pas et ne réagissait pas encore avec la même vivacité de ce dernier, cependant il était en capacité d’analyser et de comprendre les plus grands dans leurs négociations. Bientôt,il pourrait se mêler lui aussi à ses conversations de grands hommes. Ce n’était qu’une question de temps avant qu’il devienne lui-même un fin stratège. Un parfait commerçant. A seize ans, il prit pour la première fois la parole auprès de son père pour le conseiller. Il était sûr de lui et instruit, il comprenait les sous-entendus des mots et n’avait aucunement peur d’aider son père dans sa tâche. Il était bon. Fait pour cela et depuis ce jour, il seconda toujours son père. Lui prêtant main forte. C’était ça faire partie de la famille Anderson.

Si le jeune avait avant tout appris les rudiments de l’affaire familiale, ses parents n’avaient néanmoins pas sous-estimé l’importance d’une culture artistique pour le jeune homme. Destiné à devenir un homme reconnu de par l’entreprise familiale, il aurait été honteux que ce dernier ne sache pas différencier un alto d’un ténor. De ce fait, alors qu’il s’adonnait à sa tâche d’apprendre la beauté de la finance et la gestion d’hommes, il trouvait du réconfort à participer activement aux leçons de ses précepteurs d’art. Apprenant les différents courants artistiques autant dans la peinture que dans le chant. Autant que pouvait le passionné d'art, il ne put pourtant apprendre à jouer d’un instrument. Il n’avait malheureusement aucun temps à accorder à ce genre de basses activités, il n’allait pas devenir un pauvre musicien. Il céda toutefois facilement à l’achat de crayons et de cahiers de dessin. Il ne pouvait décemment pas être un artiste et faire honte à toute sa famille. Il ne pouvait pas laisser derrière lui les efforts de plusieurs générations à se faire une place au sein de la société, mais il avait bien le droit de se distraire. Il arrivait à un âge charnière où il voulait vivre pour lui, pris par les griffes de la rébellion. Il aimait prendre soin du domaine viticole mais il était affreusement conscient qu’il avait appris à aimer cela car il n’en avait pas le choix. Le dessin, lui, c’était son choix. Il n’était peut-être pas le meilleur, cependant il appréciait s’arrêter dans un champ sur le chemin du retour afin de le coucher sur papier. Il s’améliorait de jour en jour, allant jusqu’à étudier les différentes techniques existantes dans ce domaine telle que la perspective. Ces dessins, il les gardait pour lui. En majorité. C’était son secret, sa passion. Il n’en avait parlé à personne, bien que quelquefois il eût pu offrir de ses œuvres à sa plus jeune sœur. Leur relation s’était refroidie depuis quelques années alors c’était pour lui une façon maladroite de montrer qu’il pensait toujours à elle, en glissant un dessin sous son oreiller le soir. Ce n’étaient que des esquisses mais il en était fier, il n’était pas si mauvais. Une jolie fleur. Un magnifique collier de perles scintillant. Un papillon posé ou voletant. Toutes ces petites choses de la vie qui témoignaient d’une certaine beauté, elles étaient pour elle. Il ne pouvait se permettre de les acheter et dépenser de l’argent inutilement alors il prenait de son temps précieux pour lui offrir d’une autre manière.

Durant cette période, Philip se dévoua entièrement aux travail que son père lui offrait, c’était un honneur et il ne prenait que rarement le temps de se divertir. Il griffonait quelques brouillons par-ci par-là, c’était la seule distraction qu’il s’accordait. Il ne pouvait pas décevoir son père. Il n’avait donc aucunement prévu de tomber sur cet endroit. Sur cet antre d’artiste.
Ce jour-là, le jeune homme était sorti pour une petite affaire confiée par son géniteur. Il n’avait que seize ans toutefois il se sentait en complète capacité pour honorer sa mission. Confiant, il n’eut aucunement peur de se rendre jusqu'à la grande ville la plus proche de leur terre. Il n’avait point peur de ce que les plus âgés pouvaient penser de ses compétences, son père avait confiance en lui alors il était légitime à se présenter comme second de l’entreprise familiale. Ce serait un jour son entreprise. Rien ne pouvait le distraire et rien d’autre n’accapara son attention avant que sa mission ne soit menée à bien. Même lorsqu’elle fut honorée, il se dirigea tout d’abord vers son moyen de locomotion pour rentrer directement. C’était ce qu’il avait initialement prévu toutefois une fleur d’une beauté rare retint son attention et il prit le temps de la poser sur papier, dans son carnet qui ne le quittait jamais. Peut-être n’aurait-il jamais dû s’arrêter ? Cela lui aurait évité bien des malheurs, c’était sûr mais il s’était tout de même arrêté. Il comptait offrir ce dessin à sa plus jeune sœur, celle qui était née l’année de ses treize ans. C’était encore un bébé, elle n’avait que trois ans mais sa chambre méritait décoration. Il s’était donc arrêté face à cette fleur pour la dessiner. S’il comptait repartir directement après cela, ce ne fut pas le cas. Alors qu’il assénait coups de crayons sur coups de crayons, un homme s’approcha de lui. Il se présenta comme un artiste et les yeux curieux du nouveau venu n'avaient pu s’empêcher de se diriger vers le modeste dessin de Philip qu’il considéra sans préambule comme l’un des siens. Philip ne voulait point de carrière dans l’art, cependant un gentleman ne refusait point une invitation à une séance de dessin en groupe. Le peintre avait parlé d’un modèle et de différentes techniques dont Philip n’avait jamais entendu mot, cependant l’adolescent adorait apprendre. Il ne pouvait pas refuser un tel défi et ce qui ne devait être qu’une seule et unique fois se transforma en une habitude. Si la journée Philip suivait son père et conseillait ce dernier, il partait dans la soirée pour la grande ville. On ne s’inquiétait que rarement pour la sécurité d’un jeune homme éduqué à l’art de l’épée alors c’était en toute confiance que ses parents le laissaient partir bien que la plupart du temps, il fit cela dans le dos de ces derniers. Durant deux années, il adopta cette routine, ne se lassant jamais du temps qu’il pouvait passer à l’atelier avec les autres artistes. Si ce n’était pas ce à quoi il était promis, il se sentait toutefois à l’aise en leur compagnie. Et puis il y avait Louise.

Oh, Louise…
La perfection avait un nom et il était si doux à prononcer. Il roulait sur sa langue comme la plus douce des mélodies.
Il avait rencontré cette femme lors de son arrivée à l’atelier. C’était elle le modèle à représenter et s’il avait pu être intimidé par sa nudité dans un premier temps, au bout de la troisième séance il ne l’était plus. Toujours préoccupé par les affaires, il ne s’était jamais intéressé aux femmes, à ces créatures que l’on représentait autant comme une rédemption que comme un fléau. C’était saugrenue. Comment une créature comme Louise pouvait-elle être une malédiction ? Elle était bien plus resplendissante que n’importe quelle fleur qu’il aurait pu trouver. La beauté avait pris une nouvelle définition. Elle représentait à ses yeux la beauté de ce monde et cette dernière savait comment lui rendre. Se liant tout d’abord d’une forte amitié, ils ne tardèrent pas à se rapprocher physiquement. Au yeux de l’adolescent, c’était très simple : elle représentait tout. Elle était son tout. Sa moitié arrachée par les dieux qu’il venait de retrouver, son âme sœur. Il partageait tant de choses comme une admiration l’un pour l’autre. Un amour pour l’art. Si Philip s’éprenait de plus en plus du dessin grâce à sa muse, Louise avait pour rêve de devenir une grande comédienne. Elle voulait chanter et jouer des rôles à l’infini. Elle voulait être connue et peu lui importait du rang social que cela lui donnerait, elle n’était pas de haute naissance. Elle ne savait pas ce que c’était et elle ne montrait pas l’envie de savoir ce que cela faisait d’avoir tout ce que l’on souhaitait. Comme Philip. Elle ne voulait pas de lui pour son argent, elle voulait de lui pour ce qu’il était, pour ses réflexions, ses attentions et sa gentillesse. Elle voulait tout de lui autant qu’il voulait tout d’elle. Partageant le lit de sa muse, il ne rentrait plus qu’au petit matin avant de retourner se cacher dans ses bras dès que le travail le lui permettait. Cet amour, il ne voulait pas le cacher, il n’avait peur de rien. Il n’avait aucunement honte de ce qu’était Louise, il n’avait point peur d’épouser une personne sans rang. Cela ne lui importait pas car en tant qu’homme, il ne perdrait pas le sien. Sa famille ne pourrait que l’accepter, n’était-ce pas son bonheur le plus important. Elle était un cadeau pour lui, elle le sensibilisait un peu plus à l’art du chant. Elle offrait des couleurs à sa vie. Cette relation, cet amour si pur ne méritait pas d’être caché alors il n’avait aucune pudeur à embrasser sa douce au détour d’une ruelle. Ils ne faisaient de mal à personne, ils s’aimaient de la plus saine des manières. Un amour fort comme on le conte dans les livres. Celui qui vous apprend ce qu’est le réel bonheur. Est-ce pour cela que cela fait si mal lorsque tout s’écroule ? On ne se relève pas d’un tel amour.
La perfection avait un goût et il était si douloureux pour ses papilles. Il roulait sur sa langue comme le plus amer des mets.
Oh Louise…

Un château de cartes ne se serait pas effondré aussi rapidement que l’idée d’avenir que se faisait Philip. L’atelier avait été contraint de fermer ses portes pour actes de sodomie et si Philip n’en su pas plus c’est simplement car il ne pouvait se permettre de demander. S’il n’était pas dangereux pour la réputation de sa famille de voir une vulgaire artiste à son bras, il était nocif qu’il soit associé à ce genre d’acte. L’envie d’en savoir plus ne lui manqua toutefois pas, surtout en considérant que suite à cette fermeture prématurée, il n’avait plus de nouvelle de dulcinée. Il n’avait point d’idée du lieu dans lequel elle pouvait se trouver et durant plusieurs, il n’eut aucune nouvelle. Pourtant, ce n’était pas faute de chercher. Chaque soir, il retournait en ville, traversant chaque avenue, chaque rue et chaque ruelles à sa recherche avant de s’échouer dans un bar pris à la gorge par son chagrin. Il réitérait ses recherches le lendemain puis le surlendemain. Comment aurait-il pu se résigner à perdre cette perle qui l’aidait à respirer dans son quotidien ? Si le château s’était effondré, il était bien déterminé à le rebâtir. C’était sans compter ce fameux soir où, à défaut de rencontrer Louise, il croisa le chemin d’un des artistes devenu sans domicile qui avait partagé les chambres de l’atelier. Ce fut cet homme qui lui déclara sa sentence : elle était partie. Enfuie pour suivre sa propre voie loin de Worcester et de ce scandale. Elle l’avait abandonné là, laissé derrière. Laisser pour compte alors qu’elle s’enfuyait en serrant le cœur du jeune homme encore dans sa main. Les cartes s’étaient effondrées à cause du souffle du scandale mais elles ne se relèveraient jamais car celle qui pensait être son futur avait piétiné chacune de ses cartes en s’enfuyant.

La maturité et les responsabilité d’un adulte. Philip ne se releva pas de sa chute. Il n’essaya pas. Se confronter à la réalité était bien trop dur lorsqu’il était né avec tout ce qu’il fallait pour s’acheter des femmes et de la boisson. La boisson, il la produisait lui-même. Il était bien plus simple pour lui de fuir dans le travail et dans la luxure que de regarder droit dans les yeux la réalité. Il avait été abandonné. Personne ne l’avait jamais abandonné. Il était bien trop beau pour être abandonné alors peut-être était-il trop gentil ? Cette erreur, il ne la referait pas. Se lier à une femme, une seule et unique était en effet une malédiction. Plusieurs étaient bien plus divertissants. Pourtant, il ne pouvait pas sourire. Blessée, il l’était et ses voyages à Worcester, la fameuse grande ville, ne faisaient qu’appuyer sur des plaies infectées. Il ne pouvait pas rester là. Il pouvait oublier, il allait le faire et il avait déjà commencé. Philip avait rangé son carnet, enfermé à double tour dans le premier tiroir de son bureau, il ne comptait point le rouvrir un jour. Ce carnet personnifiait un avenir ridicule et non-avenu. Rien que l’acte de griffonner, de s’atteler à un simple brouillon était d’une douleur incommensurable. Il n’avait plus de muse et il n’était pas destiné à cette vie. Autant l’oublier. Il ne pouvait se résigner à tout jeter mais il pouvait s’assurer que ce terrible ramassis de rêveries reste enfermé pour toujours.
Toutefois ce n’était pas ce simple acte qui pourrait lui faire oublier deux longues années de bonheur. Il était conscient qu’il ne pouvait pas rester là. N’importe où serait mieux qu’ici et ce fut pour cela qu’il demanda cette faveur à son père : s’enrôler dans l’armée. Philip n’avait jamais été physiquement violent mais il était prêt à tout pour fuir alors faire du mal aux autres ne serait pas son problème. Cela pouvait d’ailleurs être un bon moyen pour plus tard de faire tourner les affaires. A quoi bon avoir une conscience ? Il était seul et comptait bien le rester à présent. Plus rien ne comptait à part l’entreprise, sa famille et lui. En s’enrôlant, il honorerait le pays et sa famille alors c’est ce qu’il fit avec la bénédiction de son père. Par chance, il n’eut pas à se présenter durant deux saisons mondaines. Parti en mission, il préférait de loin combattre sur un champs de bataille et manier l’épée plutôt que de s’acoquiner d’une femme. Elles n’étaient qu’objet de divertissant. Utile si elles avaient un statut de noble mais rien d'autre. Elles étaient tout au plus un outil de pouvoir, tout au moins un moyen d’assouvir un désir primaire. Pendant quatre ans, Philip ne remit pas un pied chez lui, il ne pouvait pas. N’en ressentait pas l’envie. Il avait loupé la naissance d'une nouvelle petite sœur quelques mois à peine après s’être enrôlé et s’il se sentait légèrement coupable, il ne se voyait pas remettre un pied chez lui. Il en fut toutefois forcé lorsque son père le rappela pour gérer les affaires. S’il s’attendait à s’étouffer sous la nostalgie en revenant, ce ne fut pas le cas. Le temps avait pansé ses plaies et si le souvenir restait douloureux, il pouvait aisément respirer et reprendre son train de vie habituel. Travail. Femmes. Alcools.
L’année suivant son retour, son père le força à participer à la saison mondaine. Si Londres était une belle ville et une véritable mine d’or pour les affaires, Philip ne comptait point prendre épouse à l’âge de 22 ans. Si cela était raisonnable pour un homme, il refusait catégoriquement de partager son lit à nouveau. Le temps de quelques heures, pourquoi pas. Certainement pas le temps d’une vie. Ce sujet fut le premier d’une longue ligne de conflits qui s’enchaînèrent entre le père et le fils. Les ambitions du fils dépassait maintenant celle du père et le plus jeune des deux hommes faisait toujours en sorte que les choses aillent dans son sens. Durant les deux saisons mondaines successives auxquelles il fut contraint de participer, il ne trouva pas femme faisant exprès de se montrer en retard, bourré ou de ne simplement pas se montrer. S’il avait décidé qu’il ne voulait pas, il ne faisait point d’effort. Il ne voulait qu’une chose, s’élever dans la hiérarchie sociétale. Faire grandir l’affaire familiale et surtout reprendre les rênes de cette dernière. Ce qui ne tarda pas à arriver lorsque ses parents tombèrent malades. A 24 ans, on lui accordait enfin ce qui lui était dû, ce pour quoi il était né. Ainsi qu’une jeune sœur à charge, cette tâche n’était pas des moindres.

Aujourd’hui, il était toujours le même. Il ne jurait que par les femmes et le divertissement. Il passait le plus clair de son temps à faire fonctionner son entreprise dans la ville de Londres. Si le vin était produit près de Worcester, les affaires les plus juteuses, les négociations les plus intéressantes tenaient lieu dans la grande capitale. Ce n’était pas un mal pour lui, il préférait cette dernière à sa ville de naissance. Ici, il y avait bien plus de femmes aux petites mœurs et il n’était pas dur de les approcher. Bien moins dur que cette Theodora Sheffield, la dame de compagnie de Miss Somerset.
Philip avait rencontré cette dernière alors que son ami, le Duc de Somerset, avait décidé de faire une arrogante présentation des talents de sa famille. Ces moments étaient toujours barbants, le jeune homme préférait parler affaire, femme et bon vin à des kilomètres plutôt que de regarder une jeune femme sans aucun talent pousser sur sa voix, martyrisant ses pauvre oreilles au passage. Il savait ce que c’était qu’un vrai talent, en comparaison ces femmes et leurs voix n’étaient que de pâle contrefaçon. Si Philip s’était attendu à applaudir de politesse afin de ne pas vexer le Duc et compliquer ses plans, il ne s’était pas attendu à ce que la jeune femme ait autant de coffre. Une voix si douce, emplie de promesses comme il en avait tant entendu dans son adolescence. Pourquoi tombait-il toujours sous le charme des chanteuses aux rêves aussi bas que leur rang ? Ce n’était pas ça qu’il avait prévu pour la suite, pour son avenir. Pourtant il ne pouvait s’empêcher d’agir en faveur de la jeune femme. Il refusait d’appeler cela de l’amour mais il devait admettre qu’elle l’obsédait. Il l’avait même conseillé à un ami à lui alors que ce dernier se trouvait bien embêté face à l’absence de sa chanteuse principale. Philip n’avait plus rien du bon samaritain. Il était devenu arrogant, un tantinet espiègle et dépensier. Il était ambitieux et ne reculait jamais devant rien pour atteindre ses objectifs. Il avait un réel besoin de contrôler toutes ses affaires et ne se montrait que légèrement attentionné envers sa famille. C’était tout. Il n’y avait de place pour personne d’autres que sa famille et lui. Encore moins pour une femme rêvant de succès, il connaissait très bien ce genre-là. Alors pourquoi cette femme lui donnait-elle envie de lui décrocher la Lune ? L’amour ne faisait pas partie de ses plans et jamais plus, il ne délaisserait tout pour une telle sirène. N’est-ce pas ?

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Theodora Sheffield
Theodora Sheffield
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Re: Philip Anderson ~ L'homme aux mille vices et l'une obsession /
Dim 18 Sep - 10:49

Sort un plateau de cookies et les offre à ce cher Philip Philip Anderson ~ L'homme aux mille vices et l'une obsession 4185365383

Bienvenue plus officiellement sur le forum et tu sais comme je suis heureuse de voir ce scénario joué ! Philip Anderson ~ L'homme aux mille vices et l'une obsession 90899941

J'adore ton choix d'avatar ! Hâte de voir ta fiche terminée ! Bon courage ! Philip Anderson ~ L'homme aux mille vices et l'une obsession 784082039
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Lily Rose Waelsh
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Nationalité : anglaise (Londres)
Statut marital : single
Métier/Occupation : Femme de chambre
Classe sociale : ouvrière/bonne
Rêve(s) : tous brisés
Pseudo : Romy
Trigger Warning : viols, mutilations
Content Warning : sexe, violence physique
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Re: Philip Anderson ~ L'homme aux mille vices et l'une obsession /
Dim 18 Sep - 13:10

Bienvenue!!! Hâte de jouer avec toi ;)
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Philip Anderson
Philip Anderson
◦ londoner ◦
Lettres envoyées : 6
Age : 29 ans, né le 25 Avril 1993. Il approche dangereusement de ses 30 ans, ce qui ne lui fait que très peu plaisir.
Nationalité : Bien que né prématurément en France, il est de nationalité anglaise comme ses deux parents résidents en Angleterre
Statut marital : Célibataire, peut-être plus pour longtemps. Il a promis à ses aînées de prendre femme pour ses 30 ans
Métier/Occupation : Propriétaire du domaine viticole Anderson près de Worcester depuis la mort de son père.
Classe sociale : Haute Bourgeoisie, cependant Philip reste intimement convaincu qu'il finira par être anobli. Peu importe à quel prix le temps qu'il y arrive.
Rêve(s) : Si son unique rêve a toujours été d'être anobli, aujourd'hui il hésite entre "être anobli" et "épouser la belle Theodora Sheffield" dont il est tombé éperdumment amoureux.
All I want is... you ? Or the power ?
Pseudo : Dobbyyy
Trigger Warning : Aucune sensibilité, aucun TW
Content Warning : Sexe, manipulation, alcool et sûrement d'autres choses
Doubles Comptes : Aucun
Avatar + crédit : Daniel Sharman, moi-même
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Re: Philip Anderson ~ L'homme aux mille vices et l'une obsession /
Lun 19 Sep - 5:12

Un grand merci à vous deux pour cet accueil @Lily Rose Waelsh @Theodora Sheffield. Et plus particulièrement à vous, Miss Sheffield Philip Anderson ~ L'homme aux mille vices et l'une obsession 3907445361

Je vais utiliser les cookies à bon escient, c'est-à-dire pour me motiver à taper la suite de l'histoire dès que j'en aurais le temps Philip Anderson ~ L'homme aux mille vices et l'une obsession 2593551657
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Edgar Denver
Edgar Denver
◦ Skorpion ◦
Lettres envoyées : 35
Age : 32 ans.
Nationalité : Anglaise. Du moins c'est ce qu'il prétend...
Statut marital : Célibataire.
Métier/Occupation : Chef d'une organisation criminelle.
Classe sociale : Un simple et honnête citoyen de Londres.
Rêve(s) : Mort.
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Pseudo : Antares.
Trigger Warning : Aucun.
Content Warning : Violence, abandon, sexe, prostitution, esclavage, vol, meurtre, sexisme.
Doubles Comptes : Earnest Wilde - Friedrich von Hohenzollern.
Avatar + crédit : Antares
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Re: Philip Anderson ~ L'homme aux mille vices et l'une obsession /
Lun 19 Sep - 8:06

M.Anderson, au vu de ton tempérament, je suis certain que nous pourrions avoir un... Accord. Mes demoiselles pourraient t'offrir mile et une délices. Ou devrais-je dire délices ? 

J'espère pouvoir te considérer comme étant l'un de mes clients les plus fidèles. 

Bienvenue à Meanders of London.
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Benjamin Deverill
Benjamin Deverill
◦ Vicomte Mandeville ◦
Lettres envoyées : 65
Age : 23
Nationalité : Anglaise
Statut marital : Célibataire
Métier/Occupation : Héritier du Duc de Manchester
Classe sociale : Noble
Rêve(s) : Trouver la femme parfaite
Pseudo : Amal
Trigger Warning : Pédophilie, inceste, gaslighting, gore (les mentions sans détails sont tolérées)
Content Warning : Beauferies en tous genres, alcool
Doubles Comptes : Arthur Gilderstone, Isabella Langdale
Avatar + crédit : Toby Regbo (c) Netflix
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Re: Philip Anderson ~ L'homme aux mille vices et l'une obsession /
Lun 19 Sep - 13:08

J'approuve fortement votre attrait pour ces dames. Il n'y a rien qui puisse tourner la tête comme la vue d'un jupon.
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Theodora Sheffield
Theodora Sheffield
◦ Dame de compagnie ◦
Lettres envoyées : 62
Age : 20 ans
Nationalité : Anglaise
Statut marital : Célibataire
Métier/Occupation : Dame de compagnie d'Esther Somerset
Classe sociale : Petite bourgeoisie
Rêve(s) : Devenir chanteuse d'Opéra sous le nom de Theodora Shield
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Content Warning : -
Doubles Comptes : Amelia Gilderstone
Avatar + crédit : Kaya Scodelario (Aels)
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Re: Philip Anderson ~ L'homme aux mille vices et l'une obsession /
Mer 28 Sep - 18:54

Je me permets de précéder @The Regent dans la validation pour souligner que, de mon côté, je trouve Philip parfaitement compris et bien adapté! Philip Anderson ~ L'homme aux mille vices et l'une obsession 3907445361 Certaines choses ont su doucement me surprendre dans la vision que je me faisais de lui, mais ça ne rend le personnage que plus intense et intéressant, à mon sens.

Je laisse ton destin entre les mains de notre admin bien aimé, mais je ne m'inquiète pas trop sur la tournure que cela va prendre ! ;)
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The Regent
The Regent
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Lettres envoyées : 219
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Re: Philip Anderson ~ L'homme aux mille vices et l'une obsession /
Mer 28 Sep - 20:00


Félicitation, tu es validé !


Petit mot du staff Le tant attendu Phillip est né ! Et voilà un sacré gros bébé de 29 ans que nous avons là ! 
Plus sérieusement, bienvenu officiellement sur Meanders of London (MoL pour les intimes), j'espère que tu te plairas en ces lieux, mélangent de moments de douceur, de joie, mais surtout de dramas ! 

Bienvenue dans l'aventure Meanders Of London ! Nous te conseillons de te  tourner vers la création de ta fiche de liens afin de donner vie à des relations pour ton personnage ! Bien entendu, si tu souhaites créer de toute pièce un personnage en lien avec le tiens, nous te renvoyons vers les pré-liens et scénarios. Surtout, si tu as encore des doutes sur le contexte et ce qui le compose, n'hésite surtout pas à revenir sur les annexes, ou à nous poser des questions en MP ou dans la zone concernée. On ressent tous le besoin de s'intégrer un peu, c'est pourquoi les floods et les jeux te sont proposés ! Enfin, certains achats te seront possible, grâce à l'obtention des points que tu accumuleras en postant sur le forum, tu pourras y accéder grâce à la boutique de points. Tu souhaites discuter en dehors de MOL ? N'hésite pas à nous rejoindre sur notre Discord. Pour donner envie à d'autres joueurs comme toi de nous rejoindre, profite de pouvoir recevoir 20 points en votant pour nous.

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Erskine Fraser
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Nationalité : anglo-écossaise
Statut marital : célibataire
Métier/Occupation : écuyer, ancien militaire
Classe sociale : noblesse écossaise
Rêve(s) : ne l'a pas encore trouvé
Pseudo : Beatrice
Trigger Warning : Rien
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Doubles Comptes : Reese Lennox
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Re: Philip Anderson ~ L'homme aux mille vices et l'une obsession /
Jeu 6 Oct - 0:02

Je ne sais pas si nous serons amenés à nous croiser mais bienvenu à Londres !
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Re: Philip Anderson ~ L'homme aux mille vices et l'une obsession /

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