Le Deal du moment :
Display Star Wars Unlimited Ombres de la Galaxie : ...
Voir le deal


 

 Diana Sutton | You don't need eyes to see the world

Lucy Campbell
Lucy Campbell
◦ Fille de Duc ◦
Lettres envoyées : 33
Age : 17 ans
Nationalité : Anglaise
Statut marital : Célibataire, une dot plus que conséquence accompagnant ce statut, et le noir du deuil l'empêchant pour l'heure d'être une véritable proie.
Métier/Occupation : Duchesse d'Argyll pour bon nombre, elle attend en réalité la désignation de l'héritier à ce titre pour mieux redevenir l'innocente enfant qu'elle fut avant ce drame.
Classe sociale : Noble
Diana Sutton | You don't need eyes to see the world 34a454defd1e7c8455975a2466240eec
Pseudo : Enaira
Trigger Warning : Aucun
Content Warning : ...
Doubles Comptes : Amelia & Rosalie
Avatar + crédit : Tamzin Merchant (Zuz')
Diana Sutton | You don't need eyes to see the world Empty

Diana Sutton | You don't need eyes to see the world /
Ven 22 Avr - 16:41







Olivia Sutton
◦ Gabriella Wilde ◦


PRÉNOM NOM Elle est née Diana, Victoria Finch. Fille du comte de Nottingham, elle a épousé Jonathan Sutton en 1815.
ÂGE Voilà 25 années qu'elle a vu le jour, le froid glacial du 12 février 1791 étant le souvenir le plus fort de sa naissance.
ORIGINE ET LIEU DE NAISSANCE Elle est née à Nottingham, chef-lieu familial. Elle est une Anglaise pure souche, issue de la noblesse, le sang bleu dissimulé sous les vêtements désormais moins opulents.
OCCUPATION Les conséquences de son accident ont développé ses autres sens. Se découvrant un palais fin et un nez aussi affuté que certaines épées, elle a décidé de mettre ce talent au service du commerce de son époux, en investissant les cuisines du salon de thé "Sutton's Tea Shop" pour y revisiter les recettes des pâtisseries.
SITUATION FINANCIÈRE Elle a connu l'opulence et la futilité, ayant évolué dans un monde qu'elle a désormais du mal à comprendre, préférant la simplicité de son existence dans le noir.
CLASSE SOCIALE Née noble, c'est aujourd'hui bourgeoise par l'alliance qu'elle continue de porter qu'elle trouve sa place dans ce monde, n'hésitant pas à mettre les mains à la pâte pour mieux faire valoir ce nouveau nom qu'elle porte.
STATUT CIVIL Mariée à Jonathan Sutton, c'est bien le cœur qui a su écrire cette union. Un cœur nourri d'une amitié certaine, plus que d'un amour profond. Seulement, l'homme est porté disparu depuis plus d'un an, forçant les administrations à encourager la demoiselle à porter le deuil et le statut de veuve.
ORIENTATION SEXUELLE Les courbes des hommes sont celles qui ont toujours attirées son regard quand elle était capable de les admirer. Perdre la vue n'a guère changé ce que ses mains espèrent pouvoir caresser.
TRAITS DE CARACTÈRE Bienveillante - Eduquée - Impatiente - Délicate - Talentueuse - Compense sa cécité avec ses autres sens.
GROUPE Light Keeper
AVATAR Gabriella Wilde
CRÉDITS Aels




30 %
◦ intérêt richesse ◦


30 %
◦ intérêt scandale ◦


70 %
◦ intérêt politique ◦


70 %
◦ intérêt réputation ◦


Behind The Screen
PRÉNOM/PSEUDO Enaira ÂGE 30 ans RÉGION/VILLE Loire-Atlantique FRÉQUENCE DE CONNEXION Tous les jours. QUESTIONS/AVIS Nop.
Revenir en haut Aller en bas
Lucy Campbell
Lucy Campbell
◦ Fille de Duc ◦
Lettres envoyées : 33
Age : 17 ans
Nationalité : Anglaise
Statut marital : Célibataire, une dot plus que conséquence accompagnant ce statut, et le noir du deuil l'empêchant pour l'heure d'être une véritable proie.
Métier/Occupation : Duchesse d'Argyll pour bon nombre, elle attend en réalité la désignation de l'héritier à ce titre pour mieux redevenir l'innocente enfant qu'elle fut avant ce drame.
Classe sociale : Noble
Diana Sutton | You don't need eyes to see the world 34a454defd1e7c8455975a2466240eec
Pseudo : Enaira
Trigger Warning : Aucun
Content Warning : ...
Doubles Comptes : Amelia & Rosalie
Avatar + crédit : Tamzin Merchant (Zuz')
Diana Sutton | You don't need eyes to see the world Empty

Re: Diana Sutton | You don't need eyes to see the world /
Ven 22 Avr - 16:42




Who are you really ?
◦ your story ◦




« Lord Finch. Votre épouse vient de mettre au monde votre septième enfant. C’est une fille, mylord. » Le soulagement s’était lu sur les traits pourtant fermés du comte de Nottingham. Une fille. Enfin. Quand la tendance de ses pairs se mourrait dans l’espoir de voir naître un fils, lui avait prié le seigneur pour qu’on lui accorde, enfin, une fille. Un trésor précieux qu’il serait ravi de chérir, une poupée merveilleuse qu’il pourrait offrir en mariage avec qui de droit pour mieux créer une alliance avec une autre maison noble de la pairie Britannique, sans avoir à disloquer plus encore l’héritage des Finch. Edgar Finch avait doucement ri, applaudissant seul dans cette pièce éclairée par une simple cheminée. Oui, il se félicitait, se complimentait de cette réussite. Après six garçons, son épouse méritait bien la parure de topazes qu’il avait fait acheter pour elle.

***


Plissant le regard, mordillant sa lèvre inférieure, la demoiselle s’appliquait dans son ouvrage. L’un des plus complexes, d’après sa préceptrice. Rares étaient les jeunes filles aussi méticuleuses que Diana Finch. Elle pouvait véritablement passer des heures à broder, concentrée en tout point sur son but, sur la perfection et l’équilibre des points qu’elle serrait sur sa toile. A peine âgée de douze ans, elle avait su acquérir la dextérité des meilleures ouvrières, ses longs doigts qu’elle avait appris à agiter sur le pianoforte lui étant d’une grande aide dans ce genre de tâche accordée aux demoiselles de son rang.

Achevant son dernier point, observant le résultat de ce blason, plus détaillé que le précédent, sur un mouchoir, elle eut un sourire satisfait et suffisant. Adressant un regard à sa professeure, elle lui tendit l’objet en attendant qu’elle ne cherche la moindre petite erreur. Mais le perfectionnisme de la blondinette était trop grand pour qu’elle ne puisse en trouver, elle le savait. C’est alors que ses frères firent leur entrée, chahutant comme à leur habitude, s’adressant quelques mots qui fit gronder la préceptrice de la jeune enfant. « Jeunes gens ! Les oreilles délicates de votre sœur ne sauraient écouter de tels propos grossiers. » Souriant en voyant ses frères se faire ainsi gronder, elle se retint de rire quand, la femme leur ayant tourné le dos, ils réalisèrent quelques grimaces, la langue bien pendue. « Nous ne faisions que passer. Nous souhaitons trouver la clé de la dépendance dans laquelle est rangé le jeu de croquet. Souhaites-tu te joindre à nous, Oli ? » « Votre sœur a des préoccupations bien plus importantes que de tels jeux, jeune homme… » La petite blonde fit la moue, plissant le regard vers sa préceptrice pour mieux marquer son désaccord. Alors, se hissant sur ses petites jambes, elle fit front commun avec ses aînés. « Il me plairait, au contraire, de pouvoir me distraire en compagnie de mes frères, d’autant plus que mon ouvrage est achevé. Choisissez donc le motif du prochain, durant ce temps. » Et sans ajouter autre chose, un frère lui attrapant la main pour l’entraîner dans leur course, ce fut en riant qu’elle atteint le grand parc de la demeure familiale. Ainsi était l’entente fraternelle, au beau fixe. Tous se serraient les coudes en tout temps, tous venaient s’épauler en cas de pépin. Et cela ne saurait changer autrement que par la mort.

***

Diana avait grandit. Demoiselle d'un charme certain et au sourire qui se voulait malicieux, elle avait fait son entrée dans le monde à l'âge de dix-huit ans. Sa première saison fut couronnée de succès, les prétendants se bousculant à la porte de la demeure des Finch. Diana savait comme son père prenait plaisir à renvoyer certains de ces hommes chez eux et ne souhaitait guère gâcher son plaisir, trouvant le sien en faisant de sa langue un fouet capable de venir agresser l'ego de ces gentlemen. Certains déclarèrent forfait quand peu s'attachèrent à l'idée qu'elle pourrait céder un jour à leurs charmes. Il ne fallut pas moins de trois saisons et un prétendant tenace pour que la demoiselle n'accepte l'idée de se marier.

Les fiançailles à peine prononcées, le mariage semblait se présenter sous les meilleurs augures. Un fils cadet, certes, mais de Marquis. Un titre qu'elle saurait porter si le destin le lui remettait un jour, d'une manière ou d'une autre. Mais le destin, parfois, s'amuse à de bien mauvais tours.

Le chemin escarpé menant à la demeure de son fiancé avait eu raison de la voiture portant les armoiries de la famille Finch. Attendue seule, dans un premier temps, pour rencontrer sa belle famille, elle s'était réjouie de profiter de l'espace à elle seule. Mais la roue avait glissée, les sangles avaient lâché, épargnant les chevaux qui avaient su donner l'alerte en arrivant à vive allure à destination. Et la voiture avait glissé dans un vallon, le cocher se faisant violemment désarçonner de son siège, la boîte réalisant plusieurs tonneaux. Quant à Diana...

***

La douleur était là, omniprésente. Elle avait le sentiment que son corps avait été happé par les vagues, encore et encore, avalé et recraché par une mer déchaînée. Gémissant péniblement, elle sentit sur elle le poids des draps de soie, réalisant qu’elle ne se trouvait nullement sur un quelconque sol de pierre mais bien sur un matelas douillet, son confort étant diminué par les peines de son corps. Et pourtant, ouvrant les yeux dans la nuit, elle tenta de se redresser. « Miss Finch ! Restez couchée, ne vous relevez pas. » Grimaçant, elle se laissa aller dans le lit à nouveau alors qu’elle entendait la porte de sa chambre s’ouvrir et sa femme de chambre avertir quelqu’un du réveil de la demoiselle. A cet instant, la noirceur ne sembla pas être ce qui vint la frapper. Refermant les paupières, portant une main à son front pour venir le masser, sa tête lui provoquant des douleurs par vagues, elle finit par percevoir une autre voix. « Diana ! Oh que le Seigneur soit loué. » N’eut-elle que le temps d’ouvrir les paupière dans l’obscurité qu’elle sentit les mains de son frère aîné se refermer sur la sienne avant que ses lèvres ne viennent en embrasser le dos. « Nous avions tellement craint de devoir te perdre… Oh, Diana, nous ne nous en serions nullement remis. » Cillant un instant, ce fut quand les gestes précis de l’aîné vinrent trouver sa joue, la caressant avec douceur qu’elle comprit que quelque chose était anormal. « Louis… Pourrais-tu allumer une chandelle, je ne veux pas rester dans le noir. » Une phrase des plus banales. Mais une phrase qui marquait le reste de son existence. Elle sentit son frère hésiter à ses côtés, comme marqué par l’incompréhension de sa demande. « Diana, c’est… Nous sommes en plein cœur de l’après-midi… » Instinctivement, les doigts de la demoiselle se resserrèrent sur ceux de son frère et il sentit sa crainte. Et les mots, finalement, vinrent annoncer l’horreur. « Je… Je ne vois rien. Louis, il fait si noir… » Il comprit avant elle et au moment même où père et mère faisaient leur entrée avec un soulagement certain, Louis réclamait la venue d’un médecin. Et alors que la joie se mêlait à l’incompréhension, il fallut rapidement faire face à la grande désillusion de l’instant : Le choc que Diana avait reçu à l’arrière de la tête dans l’incident avait entraîné des conséquences qui pourraient être irréversibles.

***

Il avait fallu tout réapprendre. A se déplacer sans trébucher, à se laisser guider en confiance par d’autres, à se repérer dans le temps et l’espace alors que la nuit demeurait son quotidien. Manger, même, était une épreuve. La distinction et les manières de la demoiselle avaient laissé place à des solutions moins nobles, autorisée dans le cadre familial à laisser ses doigts se promener dans son assiette quand elle se devait de batailler avec des couverts inlassablement vides lors de réceptions plus officielles. Elle percevait les silences gênés, les regards qui se posaient sur elle et si elle faisait mine de s’en accommoder, il n’était pas rare qu’elle s’enferme dans sa chambre, jetant ce que ses doigts parvenaient à attraper contre le sol ou les murs, pleurant des heures durant, inconsolable.

Ses fiançailles furent rompues. S’il était d’usage que ce genre de principe se fasse à la demande de la demoiselle, ce fut pourtant lui qui était venu la voir en l’invitant à le laisser, soulignant ce handicap qui était désormais le sien et qu’il semblait ne pas vouloir porter avec elle. Les frères de la demoiselle cherchèrent à demander réparation pour le manquement fait à l’honneur de leur dernière sœur, mais cette dernière avait insisté pour que nul ne soit blessé. Alignant les mots face à l’homme qui avait dit l’aimer, elle lui avait alors fait remarquer la puissance du parfum féminin qu’il portait, si semblable à celui d’une autre demoiselle et elle avait alors affirmé publiquement qu’elle préférait finir seule que de devoir endurer un homme qui la pensait réellement incapable de voir ses vices. Et ce fut, pour Diana, le début d’une remontée certaine.

Les choses du quotidien se faisaient plus aisément. Le monde semblait s’apprivoiser à elle et elle le contrôlait un peu mieux. Elle avait même pris goût à danser à nouveau, lors de bals, dans les bras de ses frères car souvent incapable de se laisser aller en pleine confiance dans ceux d’autres gens. Diana se sentait finalement plus libre bien qu’étrangement plus isolée. Si l’espoir de voir à nouveau avait longtemps été un moyen pour elle d’avancer, la résignation avait su prendre le dessus et la demoiselle avait su aiguiser ses autres sens. Par ses mains, elle devenait capable de voir, dessinant mentalement le contour des choses qu’elle avait connu dans son esprit. Son odorat avait su s’aiguiser et ce fut avec la stupeur générale qu’elle fut capable de décomposer l’ensemble d’un bouquet, faisant étalage de son nez si précis. Le goût des aliments semblait plus fort, plus intense en bouche, la poussant à goûter bon nombre de choses qu’elle se refusait auparavant. Enfin, les sons devenaient une manière pour elle de prendre des repères. Les voix tintaient avec des subtilités certaines, les pas des uns et des autres avaient tous une identité associée. Diana ne craignait plus le monde maintenant qu’elle avait su apprivoiser le sien.

Résignée à devenir vieille fille, en dépit de sa beauté, elle fut surprise d’apprendre que le jeune Jonathan Sutton, propriétaire d’un comptoir de thé et d’un salon portant son nom, avait fait demande auprès de son père pour l’épouser. Elle ne l’aimait pas. Il ne l’aimait que pour cette amitié profonde qu’ils avaient su forger depuis plusieurs années. Mais il lui promettait une condition maritale qui lui simplifierait la vie, ainsi que la possibilité de quitter les obligations du monde, en raison de son statut de Bourgeois. Peu enclin à accepter cette idée, le père de la blonde avait émis quelques réserves. Mais le dernier mot lui revenait et c’est ainsi qu’elle épousa l’homme. Si on espérait d’eux un mariage fécond, jamais il ne fut question de rapport physique entre eux. Pour autant Diana tolérait les aventures de son époux tant qu’il demeurait discret, n’entachant pas son nom. Dans l’obscurité, elle avait souhaité intégrer l’affaire qui était désormais celle de son patronyme. Goûtant gâteaux et préparations, elle fut celle qui eut la merveilleuse idée d’ajouter quelques ingrédients inattendus dans les recettes, rendant les pâtisseries de la maison Sutton incontournable. Sa notoriété en tant que Finch lui avait permis d’attirer à elle une population plus noble et c’est ainsi que la Salon de Thés Sutton devint un incontournable de Londres.

Les années passèrent, Diana s’était faite à cette routine simple. Et pourtant, parfois, ses sens développés pouvaient être utilisés à d’autres occasions. La création d’un parfum, le choix d’étoffes pour une tapisserie, d’un cheval de course au martèlement de ses sabots… Tant de qualités qui faisaient d’elle une jeune femme étonnante au don particulier, demandée par les Nobles autant que par ceux d’une condition moindre. Le cœur sur la main, Diana avait appris à ouvrir son logis à ceux qui en avaient besoin, principalement aux enfants qu’elle n’aurait jamais. Créant pour eux des pâtisseries, elle prenait plaisir à cuisiner en leur compagnie. Puis, la nouvelle était tombée. Jonathan était porté disparu. Était-ce le navire marchant sur lequel il voguait qui avait sombré ? Avait-il été retenu par quelques indigènes en Inde ? En Chine ? Si le négoce du thé est un filon en or, il n’en était pas moins dangereux. Un an après les faits, les institutions ont choisi de déclarer l’homme mort, le testament faisant de la demoiselle son héritière, à la surprise des familles Finch-Sutton. Conservant le nom de son ami, la demoiselle devait désormais gérer une barque qu’elle maîtrisait difficilement, entre deux mondes qui tentaient de se l’arracher. Mais la demoiselle savait également qu'elle pouvait compter sur ses frères, quand bien même deux n'étaient plus, tombés à la guerre.

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité
Diana Sutton | You don't need eyes to see the world Empty

Re: Diana Sutton | You don't need eyes to see the world /
Dim 24 Avr - 4:09

Rebienvenue par ici ! ^^
Revenir en haut Aller en bas
Lucy Campbell
Lucy Campbell
◦ Fille de Duc ◦
Lettres envoyées : 33
Age : 17 ans
Nationalité : Anglaise
Statut marital : Célibataire, une dot plus que conséquence accompagnant ce statut, et le noir du deuil l'empêchant pour l'heure d'être une véritable proie.
Métier/Occupation : Duchesse d'Argyll pour bon nombre, elle attend en réalité la désignation de l'héritier à ce titre pour mieux redevenir l'innocente enfant qu'elle fut avant ce drame.
Classe sociale : Noble
Diana Sutton | You don't need eyes to see the world 34a454defd1e7c8455975a2466240eec
Pseudo : Enaira
Trigger Warning : Aucun
Content Warning : ...
Doubles Comptes : Amelia & Rosalie
Avatar + crédit : Tamzin Merchant (Zuz')
Diana Sutton | You don't need eyes to see the world Empty

Re: Diana Sutton | You don't need eyes to see the world /
Mer 27 Avr - 15:23

Merci, charmante demoiselle. Je ne peux admirer votre beauté mais je sens la bienveillance qui vous habite... Diana Sutton | You don't need eyes to see the world 2703094435
Revenir en haut Aller en bas
Earnest Wilde
Earnest Wilde
◦ Colonel Wilde ◦
Lettres envoyées : 298
Age : 26 ans.
Nationalité : Anglaise.
Statut marital : Célibataire.
Métier/Occupation : Officier, grade colonel bien qu'il va reprendre le flambeau de son père, celui-ci dirige une entreprise de brasserie ainsi qu'un bar.
Classe sociale : Roturier, diront certains, malfrat, diront des médisants, lui, il s'en moque, qu'ils disent ce qu'ils leur chantent, juste... très loin de lui, si possible.
Rêve(s) : Les rêves sont illusoires alors il aimerait juste aimer au grand jour, bien que cela soit impossible.
Diana Sutton | You don't need eyes to see the world Pt9q
Pseudo : Antarès
Trigger Warning : -
Content Warning : Trouble post-traumatique, violence, guerre.
Doubles Comptes : Friedrich von Hohenzollern.
Avatar + crédit : Ben Barnes.
Diana Sutton | You don't need eyes to see the world Empty

Re: Diana Sutton | You don't need eyes to see the world /
Mer 27 Avr - 15:40

Salutations, gente demoiselle. J'ai hâte de connaître l'histoire de cette demoiselle ! Cela promet moulte lien ! On y approche, de nos 1000 rps ensemble ! Plus que... 995 !
Revenir en haut Aller en bas
The Regent
The Regent
◦ Admin ◦
Lettres envoyées : 219
Diana Sutton | You don't need eyes to see the world Empty

Re: Diana Sutton | You don't need eyes to see the world /
Lun 2 Mai - 13:31


Temps supplémentaire
◦ Fiche ◦


La demande de temps supplémentaire pour la rédaction de ta fiche est accordée. Une semaine de plus à partir du moment où ce post a été envoyé.

Revenir en haut Aller en bas
https://meandersoflondon.forumactif.com
The Regent
The Regent
◦ Admin ◦
Lettres envoyées : 219
Diana Sutton | You don't need eyes to see the world Empty

Re: Diana Sutton | You don't need eyes to see the world /
Jeu 19 Mai - 10:57


Félicitation, tu es validé !


Petit mot du staff L'aveugle qui voit sans un regard... C'est d'un poétique. 
Bienvenue sur Meanders of London ! 

Bienvenue dans l'aventure Meanders Of London ! Nous te conseillons de te  tourner vers la création de ta fiche de liens afin de donner vie à des relations pour ton personnage ! Bien entendu, si tu souhaites créer de toute pièce un personnage en lien avec le tiens, nous te renvoyons vers les pré-liens et scénarios. Surtout, si tu as encore des doutes sur le contexte et ce qui le compose, n'hésite surtout pas à revenir sur les annexes, ou à nous poser des questions en MP ou dans la zone concernée. On ressent tous le besoin de s'intégrer un peu, c'est pourquoi les floods et les jeux te sont proposés ! Enfin, certains achats te seront possible, grâce à l'obtention des points que tu accumuleras en postant sur le forum, tu pourras y accéder grâce à la boutique de points. Tu souhaites discuter en dehors de MOL ? N'hésite pas à nous rejoindre sur notre Discord. Pour donner envie à d'autres joueurs comme toi de nous rejoindre, profite de pouvoir recevoir 20 points en votant pour nous.

Revenir en haut Aller en bas
https://meandersoflondon.forumactif.com
Contenu sponsorisé
Diana Sutton | You don't need eyes to see the world Empty

Re: Diana Sutton | You don't need eyes to see the world /

Revenir en haut Aller en bas
Page 1 sur 1
» Qu'obtient-on avec un citron et du malt ? {Avec Diana Sutton.}
» (F) Amalia Evans - Cousine dont je suis amoureux
» Sharing Blood ◘ Isabella & Diana

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Sauter vers: