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 Theodora | Half-Blood Mermaid

Theodora Sheffield
Theodora Sheffield
◦ Dame de compagnie ◦
Lettres envoyées : 62
Age : 20 ans
Nationalité : Anglaise
Statut marital : Célibataire
Métier/Occupation : Dame de compagnie d'Esther Somerset
Classe sociale : Petite bourgeoisie
Rêve(s) : Devenir chanteuse d'Opéra sous le nom de Theodora Shield
Theodora | Half-Blood Mermaid Original
Pseudo : Enaira
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Doubles Comptes : Amelia Gilderstone
Avatar + crédit : Kaya Scodelario (Aels)
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Theodora | Half-Blood Mermaid /
Jeu 17 Mar - 15:22







Theodora Sheffield
◦ Kaya Scodelario ◦


PRÉNOM NOM Theodora Sheffield. Nom d’une mère qu’elle n’aura eu le loisir de connaître, de rencontrer, n’ayant pu croiser son regard alors qu’elle poussait son premier cri. Est-ce par respect pour la défunte qu’elle a choisi de dissimuler son identité entre les murs d’un Opéra qu’elle n’aurait su approuver ? Car là bas, empruntant le nom du directeur des lieux, c’est sous le patronyme Shield qu’elle est reconnue.
Son prénom, lui, est un hommage à son grand-père maternel, un bourgeois honorable du nom de Theodore. Cependant, loin de se formaliser de tant de manières, elle aime laisser ceux qui lui sont proche l’appeler affectueusement Thea.
ÂGE 20 ans passés dans la solitude, orpheline n’ayant plus vocation de se mettre en quête de réponses, désireuse de voir le monde s’ouvrir devant elle et lui accorder bon nombre de ses rêves.
ORIGINE ET LIEU DE NAISSANCE Elle est Anglaise, bien que sa grand-mère lui a toujours défendu quelques origines Irlandaises, comme un héritage trop précieux que la fierté la poussait à voir honoré.
OCCUPATION Ayant intégrée la maison du Duc de Somerset depuis maintenant une dizaine d’année, c’est en tant que dame de compagnie qu’elle a trouvé sa place au sein de la très honorable maison. Payée à prendre soin de la jeune Hesther Somerset qu’elle a appris à considérer comme la jeune sœur qu’elle n’aurait jamais, elle sait cependant que dès lors que cette dernière aura trouvé place dans la société, elle sera libre de ses choix et c’est en acceptant même de quitter une place sécuritaire qu’elle espère suivre ses rêves en se faisant soprane à l’Opéra de Londres.
SITUATION FINANCIÈRE Comme un précieux trésor, elle couve une petite dot que son rang social lui a permis d’obtenir, remise par sa grand-mère à sa mort. Elle se sait chanceuse d’avoir place aussi confortable que la sienne et pourtant, elle est prête à se mettre en danger financièrement pour mieux voir son rêve se réaliser.
CLASSE SOCIALE Les Sheffield sont des travailleurs qui ont su faire affaire et voir leur condition sociale s’améliorer de génération en génération. Seulement, sa mère ayant bon nombre d’adelphes avec qui partager la petite fortune, ils n’ont su atteindre d’autres sphère que celle de la petite bourgeoisie, encouragée à prendre part à l’ouvrage en s’assumant financièrement.
STATUT CIVIL Célibataire, elle sait qu’un mariage pourrait l’aider à davantage et elle sait quel homme serait capable de décrocher des montagnes pour voir chavirer son cœur à son attention. Mais pour l’heure, si la raison l’encourage à ne pas s’engager dans une voie qui risquerait de la condamner, les sentiments tendent à lui faire vivre de nouvelles aventures.
ORIENTATION SEXUELLE Peut-elle seulement aimer d’autres personnes que les mâles ? N’est-ce pas répréhensible de la pire des manières ?
TRAITS DE CARACTÈRE Rêveuse – Ambitieuse – Drôle – Eduquée – Maternelle – Déterminée – A l’oreille absolue
GROUPE Light Keepers
AVATAR Kaya Scodelario
CRÉDITS Avenged in Chains




20 %
◦ intérêt richesse ◦


60 %
◦ intérêt scandale ◦


5 %
◦ intérêt politique ◦


25 %
◦ intérêt réputation ◦


Behind The Screen
PRÉNOM/PSEUDO Enaira ÂGE 30 ans. RÉGION/VILLE Loire Atlantique. FRÉQUENCE DE CONNEXION Tous les jours, sauf absence. QUESTIONS/AVIS I’m back, b*tches !
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Theodora Sheffield
Theodora Sheffield
◦ Dame de compagnie ◦
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Age : 20 ans
Nationalité : Anglaise
Statut marital : Célibataire
Métier/Occupation : Dame de compagnie d'Esther Somerset
Classe sociale : Petite bourgeoisie
Rêve(s) : Devenir chanteuse d'Opéra sous le nom de Theodora Shield
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Re: Theodora | Half-Blood Mermaid /
Jeu 17 Mar - 15:22




Who are you really ?
◦ your story ◦




Il était une fois. N’est-ce pas ainsi que toute histoire d’amour commence ? Celle-ci n’y fait pas défaut. Il était une fois, un Duc. Duc de Beaufort, Comte de Worcester. L’homme avait su obtenir de son épouse plusieurs fils, vigoureux, robustes. Sa plus grande fierté était bien son fils aîné, Henry-Charles Somerset, alors marquis de Worcester, digne héritier d’un nom qui saurait perdurer. Parce qu’il n’était pas vilain garçon, il parvint à trouver une épouse digne de son rang, digne de son nom. Voilà de quoi réjouir toute une famille, surtout lorsque la douce épouse du Marquis fut heureuse d’annoncer sa grossesse entamée. Le nom des Somerset saurait perdurer.

Henry Charles était un homme simple, n’aspirant à guère plus que ce que la vie avait su lui offrir. Un nom, un titre et un futur duché à régir de son autorité, fortement instruit par son père avec qui il entretenait une relation cordiale. Du moins, jusqu’à la naissance de son fils. Daniel Somerset. Un nouveau nom, une nouvelle manière de perpétuer la lignée. Seulement, s’il gagna un fils, l’homme perdit son épouse, triste revers d’une médaille sinistre, emportée par une éclampsie face à laquelle les prières mêmes étaient bien futiles. Endeuillé, s’entourant de solitude et de tristesse face à la mort de celle qu’il avait su épouser pour le meilleur et, visiblement, pour le pire, il se replia sur lui-même, refusant de paraître en société quand le deuil de son épouse le lui permettait malgré tout. Il ne vivait que pour son fils. Et son fils, lui, grandit principalement grâce à sa gouvernante.

Ladite gouvernante était bienveillante, maternante. Fort bien éduquée malgré sa condition sociale inférieure à la sienne, elle savait quelle était sa place et n’avait jamais vocation de chercher à attirer les faveurs de quiconque. Peut-être fût-ce pour cela qu’elle finit par trouver intérêt aux yeux du Marquis, qui, a bien des égards, entreprit de la séduire. Un jeu, semblait-il, dangereux. Mais un jeu qui, doucement, n'en devint plus un. La réciprocité des sentiments fut aisément acquise et Elizabeth Sheffield ne tarda guère à voir son éthique mise à mal sous les élans de son cœur. Désireuse de ne pas compromettre sa réputation de gouvernante et ne pas être placée sur le banc des non-travailleurs pour des raisons aussi peu respectable, Elizabeth a déposé sa démission. Le Marquis la supplia de ne pas le faire, qu'ils trouveraient une solution. Mais quelle solution lorsque lui était destiné à devenir Duc et elle... Elle n'était rien. Pourtant, envers et contre tout, bien décidé à lui prouver son amour, il demanda sa main. Un geste qui se voulait désespéré, lui qui aurait pu mourir de la voir s'envoler au loin. Et dans le plus grand des secrets, lui jurant ne jamais prendre autre femme de sa condition, son héritage étant déjà assuré en la personne de son fils, ils s'unirent devant Dieu.

Qui aurait cru que d'une si rapide union, une graine serait si aisément semée. Elizabeth découvrit sa grossesse, dans la honte et la joie mélangées. Un enfant allait naître. Un enfant légitime d'un Noble. Elle n'avait pas à s'inquiéter de son bonheur, des ressources que ce petit être pourrait avoir. Pas même né, tout lui était déjà assuré. Henry Charles, lui, s'était juré d'annoncer à son père son geste pour que l'enfant puisse grandir dans les convenances qui étaient les siennes. Aussi, assurée de savoir que son époux parlerait à son père et que sa place à ses côtés seraient aussi légitime qu'elle se devait de l'être, la gouvernante s'en était allée à la campagne, prête à donner la vie à ce précieux trésor qu'elle chérissait. Ce qu'elle ignorait, en revanche, était que le Duc en devenir était la proie de femmes qui ne voyaient en lui qu'un moyen de s'élever socialement. Et tous les moyens se devaient d'être mis en œuvre pour mieux se garantir un mariage des plus respectables...

De retour au sein de sa famille, Elizabeth leur avait raconté la folie qui était désormais sa vie. On la pointa du doigt, elle, cette femme qui avait ensorcelé un homme pour mieux s'extraire de sa condition, le secret empêchant pourtant son rang d'être ouvertement exposé. Pourtant, quand vint le moment du travail, sa mère demeura à ses côtés. Cet enfant serait, un jour, enfant de Duc et il méritait d'être accueilli comme tel. A naissance difficile, ses peines. Le premier enfant de la duchesse serait son dernier, son souffle s'éteignant dans les larmes et les promesses arrachées à sa propre mère. Elever cet enfant, comme elle-même avait su être élevée.

Dans la peine du deuil de sa fille, la grand-mère reçut alors une responsabilité nouvelle, celle de se replonger dans la maternité. L'enfant fut nommée en hommage à son défunt époux. Theodora. Un visage angélique qui rappelait si tristement sa mère. L'aïeule avait, dans un geste désespéré d'amour inconditionnel, fait parvenir une lettre au Marquis. Cette lettre demeura sans réponse et cette enfant devint son unique responsabilité.

La brunette grandit dans les pas de sa mère. Instruite avec soin par sa grand-mère, elle se révéla rapidement débrouillarde et autonome, une grande aide pour celle qui s'affaiblissait de jour en jour. Les traits de l’enfant se faisait doux mélange de sa mère et de son géniteur, quoique trop féminins pour être réellement reconnus par les habitants du comté. Personne ne sut deviner la supercherie et l’aïeule s’était bien jurée d’enterrer le secret de sa fille. Et pourtant… Quelle ne fut pas la surprise de madame Sheffield quand se présenta en sa modeste demeure un homme des plus titrés. Duc de Beaufort. Ainsi donc, le marquis avait fini par hériter du titre de son père, décédé quelques mois plus tôt. Dans le tourment d’une telle prise de poste, il avait eu à se pencher sur toutes ces choses que son père avait gérés pendant des années… Finissant par mettre la main sur cette fameuse lettre, décachetée mais soigneusement dissimulée dans le petit tiroir d’un secrétaire particulier normalement verrouillé. Sans rien dire à la délicate petite fille, l’homme ne mit guère plus d’une poignée de minutes à voir en ses traits son reflet… Et celui de la femme qu’il avait si ardemment aimé. S’il tenta de convaincre la vieille femme du bien fondé d’emmener Thea à ses côtés, cette dernière se fit ferme. L’enfant avait grandie sans lui des années durant, à quoi bon lui laisser miroiter quelques rêveries à son âge ? Pour autant, l’homme se fit responsable de la petite, garantissant sa protection financière faute de mieux en ce temps-là. De l’argent que la vieille femme avait cherché à refuser, encore et encore, mais avait fini par conserver par espoir de voir Thea nantie d’une dot plus conséquente que n’importe quel autre Sheffield.

Cependant, personne n’est éternel. Aussi, quand vint l’heure de la mort de l’honorable madame Sheffield en 1807, Theodora n’était âgée que d’une dizaine d’années. Petite fille sur le point d’être envoyée plus loin dans le comté, chez une tante, pourtant rattrapée au vol par un père soucieux de son avenir. S’il conserva le secret de sa parenté, il profita de l’occasion pour proposer à la famille un arrangement : la petite Theodora grandirait aux côtés de sa propre fille, Esther, et pourrait, ainsi devenir sa dame de compagnie quand leurs âges serait plus approprié. Ainsi, elle obtiendrait l’enseignement et les manières de la maison tout en conservant cette place qui fut presque identique à celle occupée par sa mère jadis. Les Sheffield ne s’y opposèrent pas, et Theodora intégra malgré elle cette famille qui était la sienne.

Il y avait quelque chose de touchant en cette jeune fille qu’était Esther. Timide, délicate… Presque fragile et, surtout, ne jouissant guère de l’amour de sa mère et ayant un père fort maladroit dans sa manière de se déclarer. La Duchesse avait fui avec son amant. Le divorce étant plus que mal vu, les choses ne semblaient pas déplaire au Duc qui jouissait à nouveau de la solitude entre ces murs désormais entouré par l’ensemble de sa progéniture. Plus d’une fois, il fut tenté de dévoiler cette cruelle vérité. Mais jamais il ne trouva le courage d’aller au bout de son intention, les places de chacun et surtout de chacune étant trop dessinées pour être ainsi chamboulées. Theodora, instinctivement, avait donc pris ce rôle protecteur de grande-sœur, de mentor auprès de la douce jeune fille. Elle pouvait lui ramener un bouquet de fleurs sauvage lors de ses promenades, rire de farces qu’elle provoquait auprès de leur gouvernante ou même du seul garçon de cette fratrie. Le but était des plus simples : que la petite fille qui grandissait à ses côtés puisse rire et vivre dans la légèreté de son rang. Si elle pouvait être envieuse, Theodora mesurait sa chance et pour rien au monde, elle n’aurait aimé changer de vie… Enfin, c’était bien ce qu’elle croyait.

Des apprentissages auxquels elle avait droit, elle se découvrit un talent. Un don inné pour la musique et plus particulièrement, le chant. Elle avait la puissance vocale et la capacité à travailler sa voix pour en faire un outil précieux et merveilleusement envié par la gouvernante elle-même. Le talent, tout simplement. Le premier à le constater fut le duc, lui-même, les jeunes filles étant invitées à faire étalage de leurs talents lors de visites d’autres familles. Esther manquant de s’évanouir sous l’anxiété d’un tel instant, il n’était pas rare de voir la demoiselle de compagnie se dévouer pour mieux donner le change. Et sa voix, doucement, fut transportée jusqu’aux oreilles de Philip Anderson. L’homme n’était pas mélomane et pourtant, dès les premières notes, il fut transporté. Bourgeois bien né au sien d’une famille possédant un domaine viticole qu’il tâchait de promouvoir à tout va, il fut instantanément charmé par ces prunelles d’azur mises en avant par les mèches corbeaux de la demoiselle. Son désir pour elle n’eut d’autre égale que sa volonté de montrer cette demoiselle et de faire entendre sa voix au reste du monde. Malgré sa place dans la société, elle devait se montrer et parader sur scène, c’état une certitude. Et ce rêve, Theodora le partageait malgré elle. Comme elle aimait cet instant où elle rayonnait dans la lumière, ce moment où les regards se tournaient vers elle pour mieux entendre ce qu’elle avait à dire. Seulement, c’aurait été aller à l’encontre même de la volonté de sa grand-mère que de ne pas marcher dans les pas des respectables femmes qu’étaient les Sheffield. Sa mère n’avait-elle pas été gouvernante ? Qui souhaitait réellement s’effondrer au bas de l’échelle par choix ? Elle. Elle le souhaitait pour mieux briller parmi les ombres.

Philip avait su convier ses bienfaiteurs et investisseurs que représentaient les Somerset à un dîner. Ses relations moins nobles que celles d’un duc lui avait alors permis de faire venir Monsieur Shield, compositeur et directeur de l’Opéra de Londres lors d’une soirée d’hiver 1815. Invitant les demoiselles de la noble famille à faire don de leurs talents musicaux devant l’illustre homme, ce fut Theodora qui, comme à son habitude, fit étalage de sa voix. Une voix qui reçut l’éloge d’un maître en personne. N'était-ce pas là la voie qu'elle devait suivre ?

Le sourire aux lèvres alors qu’elle ravivait ce souvenir inlassablement auprès d'Esther, cette dernière eut une réaction des plus déconcertantes. La peur de l’abandon la dévorait, l’angoisse la poussant à se montrer soudainement moins encourageante dans ces démarches que menaient Theodora pour vivre sa vie. Si elle ne pouvait lui enlever cette blessure profonde, la demoiselle fit un pacte avec sa maîtresse : Elle ne se donnerait les moyens de vivre pleinement son rêve que le jour où Esther aurait épousé un noble et honorable gentilhomme. Le jour où elle n’aurait plus besoin de sa présence.

Ainsi, malgré la fierté qui résonnait en elle, ses rêves devaient demeurer ce qu’ils étaient : des rêves. Et pourtant, plus tôt, qu’elle n'aurait su l’imaginer, ils devinrent réalité. Une angine. Une misérable angine tenait au lit la grande soprane qui devait se produire le temps d’une soirée. La remplacer au pied levé relevait de l’exploit et pourtant… Et pourtant Philip eut tôt fait de rappeler à son ami l’existence de cette muse qui fut invitée à venir se produire sur scène. Entre responsabilité et anxiété, elle chercha bon nombre d’excuse, le duc étant sorti avec son fils, laissant les demoiselles entre elles. Et pourtant, encouragée dans les démarches par Esther, Theodora monta sur les planches. Par souci et respect envers la famille qui la payait, elle emprunta le nom de monsieur Shield, qui la présenta comme une nièce afin de justifier sa présence inopinée. Le temps d’une soirée, elle connut le succès. Le temps d’une soirée, elle réalisa son rêve et eut de quoi le nourrir plus encore.

La poursuite de son avenir semblait être lancée... Mais les rêves peuvent bien attendre encore le temps d’une saison, non ? Car il lui était impensable de briser la promesse qu'elle avait su faire à cette sœur de cœur. A sa demi-sœur de sang.

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Re: Theodora | Half-Blood Mermaid /
Jeu 17 Mar - 15:28

Frangiiiiiiiiiiiiine <3
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Re: Theodora | Half-Blood Mermaid /
Mer 23 Mar - 20:18

Délais demandé et accordé d'une semaine de plus
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The Regent
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Re: Theodora | Half-Blood Mermaid /
Dim 3 Avr - 11:42


Félicitation, tu es validé !


Petit mot du staff Bienvenue à toi ! Il n'empêche que pour ton retour remarquable, tu n'étais pas obligée de nous traiter de Bitch... Pour quelqu'un qui va jouer une femme éduquée, c'est le comble tant de grossièreté ! 
Bref, passons, bienvenue à Londres p'tite soprane !  

Bienvenue dans l'aventure Meanders Of London ! Nous te conseillons de te  tourner vers la création de ta fiche de liens afin de donner vie à des relations pour ton personnage ! Bien entendu, si tu souhaites créer de toute pièce un personnage en lien avec le tiens, nous te renvoyons vers les pré-liens et scénarios. Surtout, si tu as encore des doutes sur le contexte et ce qui le compose, n'hésite surtout pas à revenir sur les annexes, ou à nous poser des questions en MP ou dans la zone concernée. On ressent tous le besoin de s'intégrer un peu, c'est pourquoi les floods et les jeux te sont proposés ! Enfin, certains achats te seront possible, grâce à l'obtention des points que tu accumuleras en postant sur le forum, tu pourras y accéder grâce à la boutique de points. Tu souhaites discuter en dehors de MOL ? N'hésite pas à nous rejoindre sur notre Discord. Pour donner envie à d'autres joueurs comme toi de nous rejoindre, profite de pouvoir recevoir 20 points en votant pour nous.

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