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 Mésis Stanhope, God is a woman so... the Devil too.

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Mésis Stanhope, God is a woman so... the Devil too. /
Lun 8 Nov - 23:56







Mésis E. Stanhope
◦ Eva Green ◦


PRÉNOM NOM Mésis Erika Stanhope.
ÂGE 35 ans.
ORIGINE ET LIEU DE NAISSANCE Anglaise, elle est née sur les terres de son père.
OCCUPATION Officiellement "Comtesse de Chesterfield", officieusement préceptrice au sujet de la « Chose » auprès des jeunes nobles.
SITUATION FINANCIÈRE Aisée.
CLASSE SOCIALE Noble.
STATUT CIVIL Mariée.
ORIENTATION SEXUELLE L'orientation qu'elle désire empruntée.
TRAITS DE CARACTÈRE Beaucoup la désigne comme étant une femme dévergondée, sans le moindre respect vis à vis de son corps et de son rôle d'épouse qu'elle bafoue sans honte. Certains la nomment "catain" tandis que d'autres pensent qu'elle est une prostituée. C'est d'une telle outrance ! Heureusement qu'elle n'est pas susceptible pour un sou, juste légèrement taquine. Elle qui enseigne aux jeunes puceaux les rudimentaires de la sexualité. N'est-ce pas une profession digne ? Elle porte sa fierté la tête haute, n'étant point dégradé par sa vocation. Ses paroles sont franches, ses mots parfois acerbes, l'ironie qu'elle maîtrise sur le bout de sa langue après tout, tous ses actes ont le don de la provocation naturelle. Elle peut être impulsive malgré ses airs froids et calculateurs, elle a besoin de savoir qu'il y a quelque chose qu'elle peut contrôler. Elle est strict envers elle-même et envers les autres, seulement pour leur bien. Elle préfère jouer les méchantes. Malgré cela, tendez l'oreille et lisez entre les lignes, vous pourriez trouver bon conseil. Sans doute que sa gentillesse est bien cachée derrière une centaine de barrière qu'elle a érigé. Il n'empêche que sa beauté indéniable causent moult jalousie chez la gente féminine tandis que les hommes désirent la posséder l'espace d'une nuit. Elle est assez mystérieuse, ne parlant que très peu de sa personne, d'après ses dires, il n'y a rien à raconter. Elle n'aborde jamais une seule trace de pleurs sur ses joues immaculées, seulement un sourire narquois qui a la faculté d'en énervé plus d'un.e. Son charisme semble inné, une aura l'entoure, sa force acquise, son courage gagné, sa grâce parle d'elle-même, extravagante dans sa manière d'être, hautaine quand elle s'exprime d'une éloquence sans pareille, elle se joue de l'amour, elle n'en a guère besoin. Au fond elle lutte contre l'homme qu'elle n'aurait jamais pu être. Son il qui s'est transformé en elle.  Au fond elle lutte contre la féminité  et la masculinité en son sein. Mais elle n'est pas IL. Elle n'est pas ELLE non plus. Elle est juste les deux et aucun à la fois. IEL donc ? Peut-être. Elle l'ignore et ce n'est pas des questions qu'elle devrait se poser. Elle est née femme, elle le restera puisque c'est ce que le monde entier voit d'elle. Et si... C'était faux ?
GROUPE light keepers.
AVATAR Eva Green.
CRÉDITS Maman Ourse.




73 %
◦ intérêt richesse ◦


27 %
◦ intérêt scandale ◦


86 %
◦ intérêt politique ◦


14 %
◦ intérêt réputation ◦


Behind The Screen
PRÉNOM/PSEUDO Phoenix.ÂGE L'âge que j'ai. RÉGION/VILLE Belgique. FRÉQUENCE DE CONNEXION Min 1j/7j QUESTIONS/AVIS Non.





Who are you really ?
◦ your story ◦




-Ho. Ce n'est que vous. Que me vaut le déplaisir de votre visite ?
S'exprime mada~, mademoiselle Stanhope de sa voix grave et suave.

-Bonsoir à vous aussi. Attendiez-vous quelqu'un d'autre ?

-Oui, mon cher époux. Ce n'est guère grave, qu'est-ce qui vous amène dans l'entre de la vipère, lady Seymour ?

-Vous avez donc entendu... Ne le prenez pas pour vous, je ne voulais que plaire.

-Humph. Vos paroles contenant du venin de serpent ne peuvent m'atteindre. Savez-vous ma rumeur préférée me concernant ?

-Vous les avez donc toute entendue ?! Et non, je l'ignore.

-Très certainement, Londres a des oreilles et moi de même.

-Quelle est votre favorite dans ce cas là ?

-Il paraît que je me sois fais mordre par un serpent. Et qu'après que ce reptile ait goûté de mon sang, celui-ci tomba mort. Empoisonné. N'est-ce pas une de vos créations

-Je... Ne peux nier. Ce n'était pas pour vous blesser. Je ne voulais seulement que~

-Plaire. Oui. Mais la vraie question est à qui ?

-À mes amies.

-Pour plaire à vos amies, vous devez donc inventer des mensonges des plus grotesques. La moquerie ne vous réussi point.

-Madame~

-Mademoiselle.

-Mes excuses. Mademoiselle, comprenez-moi.

-Je ne peux comprendre.

-N'avez-vous donc pas d'amies ?
La pitié. C'est ce qu'elle entend dans les paroles de Lady Seymour.

-Non. Pas aussi superficielles que les vôtres.

-Pourquoi avons-nous abordé ce sujet de prime abord ?!
S'offusque la non invitée.

-J'attends que vous me répondiez. Quelle est la raison de votre venue ?

-J'attendais que vous me proposiez de m'asseoir.

-Vous pourrez toujours attendre. Installez-vous ou restez debout, cela n'a que peu d'importance pour ma personne.

-Pourquoi ne pas vouloir m'inviter à me joindre à vous sur le fauteuil ?! Ce n'est guère convenable pour une lady. La politesse, connaissez-vous ?

-Je vous avoue que je suis perplexe, pour une personne qui est venue en ces lieux sans y être invitée pour me demander un de mes services, vous me semblez bien impertinente.

Réticente, Lady Seymour se décide à s'installer au côté de Lady Stanhope.

-Comment pouvez-vous penser que je ne suis qu'ici que pour vous demander un de vos services à l'un de mes fils !?

-Si ce n'est pas pour cela, pourquoi avoir été si... Précise ?

-Certes. C'est bien pour cela que je suis ici.
Avoue-t-elle vexée, est-elle si prévisible ?

Après un soupire de consternation, la "demoiselle" de la trentaine semble déjà lasse par cette conversation.

La jeune femme âgée pense à ses premiers pas, à ses premiers mots, à cette doucereuse enfance qui ne la point manqué. Son père, le 2ème vicomte Mills, n'a pas été agréablement surpris d'avoir engendré une fille. La mère lui en voulant d'être née du sexe faible sembla peu disposée à faire preuve d'un minimum d'instinct maternel. Elle a été élevé par une gouvernante. Son père, elle ne l'a connu que de loin. Au pieds de son bureau, tous les matins dès qu'elle pût se permettre de marcher facilement, elle lui offrait un "Je vous présente mes salutations, ainsi qu'une agréable journée." Il ne lui a jamais répondu. Elle attend toujours une réponse. Bien qu'il n'y a plus à espérer. Il est mort. Pathétique. À sa perte, son cousin, l'héritier, a été fort compatissant. Elle peut rester dans la demeure de son défunt géniteur jusqu'à ce qu'elle se trouve un mari. Parmis ses prétendants, elle a du faire un choix. Un choix qu'elle ne doit pas regretter. Un choix qui va la lier à une personne qu'elle ne peut aimer. Pour elle, l'amour n'est qu'un leurre. Une illusion qui offre l'espoir avant de le prendre, non, elle ne parle pas d'expérience. Est-elle née dépourvue d'amour à offrir, elle qui en a été privée toute sa vie ? Sans doute, elle se pose bien la question. Mais qu'importe, le mariage n'est qu'un arrangement.

"Je vous demande de me demander ma main. Mon cousin vous a déjà approuvé. Il n'en tient qu'à vous."

"D'accord. Mademoiselle Mills, accepteriez-vous de m'épouser, vous feriez de moi l'homme le plus comblé ?"

"N'êtes-vous pas censé vous mettre à genoux pour faire une telle demande ? Je ne peux répondre sérieusement si vous aussi, vous pensez que tout ceci n'est qu'une ridicule mascarade."

"Pardonnez-moi. Je ne voulais pas vous paraître à ce point désobligeant. Vous offensez n'a jamais fait partie de mes plans pour vous et moi."

Il se met à genoux, la posture d'un chevalier devant sa reine. Il lui prend de ses doigts, la main de sa -il espère- future femme.

"Accepteriez-vous de me prendre pour mari ? Je vous promets de vous être dévoué et de vous protéger au péril de ma vie."

"Fort bien. Laissez-moi y réfléchir, Lord Stanhope."

"Vous... Je~ Arf. Ainsi soit-il. Prenez votre temps pour décider. J'attendrais votre réponse."

"Merci de votre compréhension."

-Etes-vous toujours avec moi ? Vous n'avez pas écouter un traître mot de ce dont je vous faisais part !

-Je ne le crains. Répétez votre réponse, je vous prie.

D'un soupire d'irritation, Lady Seymour hoche la tête en accord. Comme si elle avait vraiment le choix.

-Mon fils cadet va se marier.

-Hum... Soit. Qui est la malheureuse élue ?

-Je ne vous permets pas ! Mon fils fera un excellent époux.
S'indigne une mère, fière de sa progéniture.

-Ce ne sont que les paroles d'une mère protégeant son enfant contre les médisances, en quoi votre jugement peut-il être objectif ?

Après un regard meurtrier de la part de Dame Seymour, dont Dame Stanhope répond cordialement avec un sourire mielleux, Stanhope prit parole.

-Qui est donc l'heureuse élue ?
Sa voix dégoulinant de sarcasme.

-Tsk. La future mariée se trouve être Lady de Corsac.

Avec un haussement de sourcil, elle constate.
-Il n'est pas à plaindre. Je ne peux en dire autant de la jeune demoiselle.

Faisant fi de la dernière remarque de l'hôte, Dame Seymour lui fait part de sa requête.
-J'aimerais qu'il ait un cours particulier avec vous sur... Cette chose.

La préceptrice de la "chose" ne peut que rouler des yeux avec ennuie, ce sujet si tabou, ce n'est qu'un cour parmi tant d'autres. Si ce n'est qu'il y a sans doute plus de... Pratiques.

-S'il sera bientôt responsable d'une vie, autre que la sienne, je le pense assez grand pour faire cette demande de lui-même.

-Est-ce un refus ?

-Quelle perspicacité.
Fit-elle, ironique.

-Pourquoi !?

-Ce n'est pas sa demande. C'est la vôtre. La sexualité~

-Je ne peux entendre ce mot si grossier !

Mésis claque sa langue d'agacement, elle déteste qu'une personne lui coupe la parole. Peut-être par simple fierté, mais non. Sa parole n'a jamais été entendu d'antan donc plus personne ne lui fera perdre sa voix qu'elle a si durement gagné.

-La sexualité est consentie. Qu'il vienne me voir, me parler. S'il est convaincant, je l'accepterai mais si une action trahit ses dires, je ne pourrai l'avoir comme élève.

-Je suis sûr qu'au fond, il consent. Il ne veut juste pas le dire, son refus vient de sa timidité et de son manque d'expérience.

-N'est-ce pas ce que pense les hommes avant de vio~

-Vous n'oserez pas le d~ !

-Avant de violer une femme ? M'inciteriez-vous à cela ? Seriez-vous complice de ce délit ?

-Les hommes ne peuvent être forcés.

-Voilà bien des paroles d'une personne fermée d'esprit.

La mère se mord les lèvres. Ses connaissances remisent en cause part... La catin de la ville, pourquoi l'écoute-t-elle même ?

Enfin, catin, traînée, putain, prostituée, la préceptrice a été affublé de tant de terme qu'elle ne peut que rire de leur ignorance.

-Acceptez le choix de votre enfant. Si le doute le prend sur son rôle de conjoint au lit, il pourra faire appel à moi. Il n'empêche que pendant ce temps, il est très bien sans mes services. De plus...

-Hum ?

-N'avez-vous pas dit qu'il fera un excellent compagnon ?

-Certes... Je vais arrêter de remettre en doute ses décisions. Je lui accorde le bénéfice du doute.

-Bien. Autre chose ?

-Il y a une question à votre sujet qui me taraude depuis longtemps déjà.

-Je ne vous promets pas d'y répondre mais dites toujours.

-Comment en êtes-vous arrivé si bas ?

-Pensez-vous que ma profession est indigne de la femme que je suis ?

-C'est bien cela.

Ce n'est pas la première fois que la question lui est posé. Elle soupire. Même après son mariage avec Stanhope, Cela a commencé par une énième déclaration d'amour par un jeune, 6 ans son cadet, lui confessant qu'il l'aimait mais que malgré cela, il ne pourrait la combler, ne sachant comment s'y prendre. Elle l'a juste jaugée du regard pendant quelques minutes. Puis avec un petit sourire compatissant, elle lui prit la main, en jetant au passage les fleurs qu'il lui avait offert, elle avait ces végétaux en horreur, puis elle lui a appris les rudiments des rapports entre une femme et un homme contre rémunération.

-Vous pensez mal.
Pour la première fois, elle s'est sentie utile, non pas pour elle mais pour les autres. Elle est égoïste de nature alors donner de sa personne, c'est un peu comme... Se repentir sans mot dire. Un secret qu'elle gardera pour elle.

En parlant de pacte...

"Arrêtez cela !"
Crie Lord Stanhope à sa nouvelle femme.

La jeune femme accède à la requête de son mari, elle dépose la plume et la lettre à peine commencé qu'elle destinait à son cousin.

"Ce n'est qu'une lettre de félicitations à mon cousin et sa femme, pour leur nouveau né à venir, vous pouvez y lire le contenu si cela vous tourmente à ce point."

"Je ne parle pas de cela. Arrêtez de me prendre pour un imbécile. Lorsque j'ai demandé votre main, j'ai su que vous ne pourriez m'offrir votre cœur mais vous..."

"Mhh. Moi ?"

"Vous avez osé me manipuler !"

"Qu'est-ce qui vous a le plus blessé ?"

"Je vous demande pardon ?"

"Vous êtes tout pardonné. Mais là n'est pas le sujet. Qu'est-ce qui est le plus blessé entre votre confiance en moi ou votre orgueil et fierté de mâle ?"

"Rien de cela. Arrêtez de me manipuler sans mon consentement."

Lady Stanhope ne s'y attendait guère.
"Ô pitié ! Si je vous le demandais, auriez-vous vraiment accepté ma requête pour le moins indécent venant d'une femme ?"

"Oui. J'ai besoin de vous. Je ne sais rien faire par mes propres moyens autre que pour les interactions sociales. La politique, je n'y connais rien. La stratégie me semble compliqué. Seule la gestion de mes~ nos terres me semblent une tâche des plus aisées.. Ce n'est pas pour rien que je vous ai épousé. Vous êtes une femme forte qui peut endosser le rôle que je suis incapable de jouer. Aidez-moi à devenir quelqu'un."

Abasourdie, elle ressent quelque chose qu'elle n'a jamais ressenti jusqu'alors. La perte du regret qui rongeait son âme face à ce mariage non désiré.

"Je vous offre mon pouvoir en tant qu'homme, mon titre, mon influence, ma richesse et votre liberté aussi bien en tant que femme qu'en tant que personne. Je suis vôtre. Disposez de tout ce dont je possède pour nous."

"Hum... C'est un marché tentant. Quel est le prix a payer ?"
Rien, en ce monde, n'est gratuit. Elle le sait plus que quiconque ici bas.

Il se mord la lèvre, bougeant d'inconfort.

"Ne portez pas en votre sein un enfant, jamais. Que ce soit le mien ou celui d'un autre."

À cette annonce, son cœur cesse de battre pendant une seconde. Un enfant ? Hum... Non, elle n'en jamais voulu. En vérité, elle ne sait jamais posé la question. Mais l'optique même de le lui interdire, de lui priver de cette liberté pour en gagner une autre la frustre.

Avec une poignée de main, ils scellent leur promesse tacite. C'est à ce moment là, qu'elle a compris, elle a conclu une affaire et pour son homme, ils sont égales. C'est la première fois qu'elle ressentait autant de respect vis à vis d'une personne, un homme tout particulièrement.

Ironie du sort ? Qui sait ? Treize ans après leur promesse, elle a compris. Elle est stérile. Et ça fait plus mal qu'elle ne l'aurait cru.

-"Vous pensez mal." Ce n'est pas une réponse cela !

-C'est la seule que vous aurez.

-Tsk. Comment Lord Stanhope a pris le fait que vous travailliez ?

-Est-ce vraiment le fait que je ne sois pas comme vous, une femme au foyer ou la profession que j'ai choisi qui vous contrarie ? Mon mari n'a pas eu un mot à dire. Il m'a promis la liberté et je la paie tous les jours.
Dit-elle en posant une main instinctif sur son ventre.

Ce n'est pas de la tristesse, ni même un remord, peut-être juste un regret. En chaque jeune fille et jeune homme, elle voit l'enfant qu'elle ne pourra jamais avoir. Cela la rend simplement pensive. Il est certain qu'elle n'aurait pas aimé sa vie en tant que femme. Parce qu'elle n'est pas une femme.

Elle s'est déjà déguisé en homme. Sa voix plus grave que la moyenne pour la gente féminine l'y a fortement aidé. Travestie, elle était. Elle s'est essayé une conversation avec un homme en étant homme. Elle a détesté. Parce qu'elle n'est pas un homme.

-Votre supériorité vous perdra ! À m'ignorer ainsi. Ne suis-je pas assez bien pour vous parler ?!

-C'est vous qui le dites. Je n'ai jamais rien dit de telle. Et détrompez-vous... C'est mon complexe d'infériorité qui mettra fin à mes jours.

Une femme ayant eu la prétention d'être l'égale de l'homme ? Quelle sottise ! Une femme n'ayant sa place nul part ? Ce n'est guère important puisqu'elle va se la créer de toute pièce. Envers et contre tous. L'édifice se construit, comme sa réputation salie. Maintenant, que peut-elle bien faire du regard d'autrui tandis que leur estime pour elle est sûrement plus bas que terre ?

Du bruit se crée dans le hall d'entrée.
-Mon mari est revenu de sa journée de travail. Je ne veux point vous chasser mais je ne crains qu'il est l'heure pour vous de partir.

Une fois débarrassé de Lady Seymour, elle se dirige vers son homme. Oui, le sien, il lui appartient. Ils doivent discuter des négociations avec Lord Stermon.

-Bien le bonsoir, lady Stanhope. Lady, comment faites-vous pour conservez votre beauté et votre jeunesse ?
La complimente-t-il, même si elle aurait préférée que ce soit sur autre chose que son physique. Enfin tant pis, cela partait d'une bonne intention.

Avec un rictus d'amusement, elle lui avoue en susurrant.
-Mon cher Stanhope, n'oubliez jamais, la beauté est comme une fleur. Elle peut se faner mais jamais elle ne pourra mourir.

C'est dans ces moments que l'homme qui partage sa vie depuis une dizaine d'années pense qu'il y a quelque chose chez sa femme qui... Offense le vulgaire. Sans jamais dépasser le politiquement correct.
Avec un baisé sur la bouche de son mari, elle l'accueille comme il se doit.
Ses lèvres ne peuvent être capturées que par son homme. Elles lui sont fidèles.
Prise d'une soudaine envie de rejet, elle se sépare de lui retirant ses mains qui se faisaient de plus en plus baladeuses.

-Je vais à la bibliothèque. Nous parlerons plus tard de Lord Stermon.
Une femme, à la bibliothèque ? Qui se trouve dans la section agronomie et pas romance ? Dans la section artistique, histoire et l'évolution de l'art  et non contes et légendes ? Comment est-ce diablement possible ? Depuis toujours elle se passionne pour l'art en général, il connaît quelques morceaux de piano, bien qu'elle ne soit un virtuose de cet instrument elle se débrouille bien.

-Mais j'avais prévu une soirée avec mon vieil ami, Lord~

-Je ne veux pas le savoir. Débrouillez-vous pour annuler ou reporter ou que sais-je ! Je vous veux dans votre bureau à 22h.

Lord pousse un soupire de dépit, et dire que la soirée commençait si bien.

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Re: Mésis Stanhope, God is a woman so... the Devil too. /
Mar 9 Nov - 19:09


Félicitation, tu es validé !


Petit mot du staff Quelle jolie fiche. Quelle jolie madame. Rebienvenue parmi nous. Juste, tu as prévu quoi à 22h avec Monsieur :p

Bienvenue dans l'aventure Meanders Of London ! Nous te conseillons de te tourner vers la création de ta fiche de liens afin de donner vie à des relations pour ton personnage ! Bien entendu, si tu souhaites créer de toute pièce un personnage en lien avec le tiens, nous te renvoyons vers les pré-liens et scénarios. Surtout, si tu as encore des doutes sur le contexte et ce qui le compose, n'hésite surtout pas à revenir sur les annexes, ou à nous poser des questions en MP ou dans la zone concernée. On ressent tous le besoin de s'intégrer un peu, c'est pourquoi les floods et les jeux te sont proposés ! Enfin, certains achats te seront possible, grâce à l'obtention des points que tu accumuleras en postant sur le forum, tu pourras y accéder grâce à la boutique de points. Tu souhaites discuter en dehors de MOL ? N'hésite pas à nous rejoindre sur notre Discord. Pour donner envie à d'autres joueurs comme toi de nous rejoindre, profite de pouvoir recevoir 20 points en votant pour nous.

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Re: Mésis Stanhope, God is a woman so... the Devil too. /
Jeu 11 Nov - 10:51

J'adoreuh ! Re-bienvenue à toi ! Mésis Stanhope, God is a woman so... the Devil too.  608476225
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Re: Mésis Stanhope, God is a woman so... the Devil too. /

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